les tribulations d'une perle
Elle sétait allongée sur le lit, le plus près du bord possible de peur de déranger lhomme allongé à ses côtés. Immobile, les yeux fixés sur le plancher, elle respirait à peine, pour le laisser dormir. Une fois son voisin de lit endormi, elle oserait enfin bouger discrètement afin de, à son tour, rejoindre les bras de Morphée. Son compagnon de couette nevoyait pas les choses de la même façon. Cherchant le contact, la douce chaleur féminine, il sallongea contre elle, le visage enfouit dans sa nuque, la main posée sur son épaule. Soulagée, un timide sourire aux lèvres, elle osa alors fermer les yeux, sentant quelle pouvait sendormir sans crainte.
La lumière éteinte, un unique rayon lumineux traversait la chambre depuis lespace entre les rideaux, désignant sur lavant-bras de la jeune femme, une main virile redoublant de tendresse à mesure quelle rejoignait le coude. Incertain, lhomme stoppa là son exploration, la main posée sur le coude. Son pouce caressait distraitement cette peau fraîche, de façon plus ou moins régulière, au rythme de sa respiration
Cest alors que la jeune femme bougea. Elle avança son bras, laissant glisser sur ses reins la main curieuse et déplia légèrement les jambes. Le corps moins crispé, sa respiration devint plus détachée, son souffle plus lent. Son cur en revanche, ne savait plus où donner de la pulsation. Excitation, désir, tendresse
Tout se mélangeait, sentrechoquait et donnait un patchwork de sensations plus ou moins bien connues, plus ou moins bien définies.
Prenant ce mouvement pour un feu vert, lhomme caressa les reins, laissant la main errer de plus en plus bas, atteignant ainsi le ventre quil maintint alors, doucement mais avec fermeté. La belle enfin captive, les corps se rapprochèrent. Les jambes sentremêlèrent, les peaux se frôlèrent dabord, pour finalement sappeler lune à lautre. Un frisson traversa le corps de la jeune femme, offrant à son ami la possibilité de la serrer contre lui, prétextant de la réchauffer, denfouir davantage son visage contre la nuque et, tendrement, de déposer un baiser à la naissance de lépaule.
Sereine, la belle sendormit, bercée par la respiration contre son cou. Elle ne dormait plus dans le même lit que son ami, ils dormaient à deux
Mar 29 nov 2005
23 commentaires
Ben tant pis pour toi masquéééé, tu rates ce joli moment de poésie, qui n'est pas de moi mais de Suzybellule (moi à 4h du mat' soit je dors soit je baise mais ne suis en aucun cas devant mon PC)
adimacb - le 29/11/2005 à 16h42
merci de remuer le couteau dans la plaie... Bouhouhou j'en ai assez de dormir seule... :-D
suzybellule - le 29/11/2005 à 19h40
Rhoooo ayé j'ai vesqué mon auteur favorite :-) (rame adi, rame!)
Heu, bon tu sais bien que c'est pas du tout ce que je voulais dire n'est-ce pas? tu me fais marcher, hein dis?
:-)
Heu, bon tu sais bien que c'est pas du tout ce que je voulais dire n'est-ce pas? tu me fais marcher, hein dis?
:-)
adimacb - le 30/11/2005 à 13h27
Evidemment je plaisante... Ce n'est pas parce que je dors avec les pieds froids que j'en deviens aigri et que je perds mon sens de l'humour et de la dérision ^^
suzybellule - le 30/11/2005 à 14h47
la suite, quoi !
(je sais, ladyMacB, je me répète)
(je sais, ladyMacB, je me répète)
marc - le 01/12/2005 à 09h30
La suite s'enfile sans faim ni foi...
Adimacb - le 01/12/2005 à 10h06
La suite, je ne sais pas s'il y en aura une... Peut être plutôt un début, qui sait... Mais c'est vrai que je devrais tenter quelque chose avec ce texte...
suzybellule - le 01/12/2005 à 23h31
Ca faisait longtemps... toujours aussi doux, tout ça... merci L'AdiMacB
Fredogino - le 05/12/2005 à 12h06
bonjour
merci
bye et bon blog
merci
bye et bon blog
admin_word - le 05/12/2005 à 17h15
Du coup je n ai pas lu!!!