Last days &
days last everything

adimacb@yahoo.fr

Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 00:00
Je voudrais prendre mon sexe en main, mais depuis ma position d'observateur, je suis exposé à la vue des passants. Malgré tout, je ne suis pas déçu. J'endure la plus merveilleuse souffrance qui soit. J'observe des pieds me raconter ce que je ne peux qu'imaginer.

Les bottes trépignent de plus en plus. Natasha écarte les pieds. Ses chevilles penchent vers l'avant. À mon avis, elle vient d'offrir l'intérieur de ses cuisses chaudes aux mains affamées de Julie. Cela dure quelques minutes.
Quelques minutes où mon cerveau connaît l'enfer. À partir des mouvements de chevilles, j'imagine Julie retenant la longue chevelure de Natasha. Cette dernière se cambre, la bouche entrouverte. La langue sortie, elle cherche désespérément à goûter un sexe invisible. Julie doit avoir saisi les seins ronds de Natasha à présent. Elle doit pincer fermement les mamelons durs entre ses doigts. Du même coup, elle ajoute le plaisir d'une légère brûlure. En ce moment, j'envie Julie, cette inconnue qui se tape ma femme. Puis, mon cerveau identifie un halètement familier.
Au bas de la porte, les chevilles nues bougent de l'avant vers l'arrière. En pensée, je vois de nouveau Natasha. Elle frotte assurément ses fesses invitantes contre la chatte de cette femme anonyme. D'ailleurs, les bottes accusent un léger recul sous la pression de son joli petit cul. Elle m'excite terriblement.

Si elle pense à moi, Natasha sait qu'en cet instant je voudrais exploser, que la torture est insoutenable. Elle sait aussi que mon cerveau se gave du moindre détail provenant de l'ouverture au bas de la porte. Je n'en peux plus. Pourtant, rien ne m'empêcherait de pénétrer dans la cabine voisine, de fermer la porte et de vider mon sperme brûlant au son de ses gémissements. Mais, voilà : je ne veux rien manquer. - " Mmmh, c'est bon ", murmure Natasha. Le tremblement de sa voix me fait imaginer les doigts de la vendeuse qui caressent frénétiquement ses lèvres et son clitoris.

Mon esprit entrevoit les doigts de Julie qui vont et viennent dans le sexe mouillé de Natasha. Celui-ci doit être à ce point lubrifié qu'elle s'y enfonce jusqu'aux jointures. Mais, mon plaisir augmente encore lorsque, tout à coup, les bottes reculent quelque peu. Julie prend ses distances par rapport aux pieds de Natasha en attente. Julie a décidé de mieux voir. " Mais, voir quoi? ", me dis-je surexcité. Connaissant les goûts de Natasha, je crois comprendre qu'elle offre maintenant à Julie de caresser son anus. La vendeuse s'est donné l'espace pour bien voir la petite rosette de chair. Maintenant, une botte est tournée dans ma direction et l'autre pointe vers Natasha. Julie se rapproche. Elle a trouvé la petite ouverture. Natasha n'a pas bougé, mais elle lâche un petit cri aigu. D'une main, la jeune femme doit se délecter de sa chatte alors que, de l'autre, elle enfonce peut-être un ou deux doigts dans son petit cul serré. Natasha laisse échapper un grognement de plaisir. Je la sens très excitée. Je reconnais ce son. Elle est sur le point de jouir.

Les battements de mon cœur se déchaînent. Voilà plus de vingt minutes qu'elles sont toutes les deux enfermées dans cet espace restreint. Je monte et descends le poing fermé contre mon sexe emprisonné. Mon gland est prêt à exploser. D'un coup, les pieds nus se tournent face aux bottes. Ils sont toujours écartés. Mais, je n'entends plus rien, aucun souffle, aucun son. J'imagine alors que leurs bouches sont à nouveau entremêlées. Leurs langues avides se titillent encore, s'enroulent et se sucent. Je veux mourir et Natasha le sait. Je défoncerais cette porte, mais je me plie aux règles du jeu qu'elle dirige. Cette porte, c'est elle qui la contrôle. Maintenant, les bottes s'affaissent vers l'avant. Les genoux de Julie touchent le sol. " La cochonne, me dis-je en pensant à Natasha, elle l'a obligé à s'agenouiller et à manger goulûment sa chatte! " J'imagine la vendeuse qui dévore son sexe brûlant. Les deux mains de Natasha sont probablement appuyées derrière la tête de Julie.Elle doit empoigner ses cheveux pour mieux presser cette langue sur sa vulve humide. Cette fois, les chevilles de Natasha sont penchées vers l'arrière. Elle est adossée contre la cabine. Puis, elle monte sur la pointe des pieds. Ses jambes sont toutes ouvertes. Natasha se cambre pour mieux recevoir la bouche gourmande de Julie. Je suis sûr qu'elle perd presque conscience. Moi, je rêve de soulager l'insoutenable tension de mon sexe. Je voudrais me foutre de la Terre entière, mais ma raison l'emporte. Je suis donc condamné à la torture de mon membre énorme, coincé dans ce tissu intransigeant qui le séquestre délicieusement. Je suis perdu dans mes pensées les plus perverses lorsqu'une voix me ramène à la réalité : - " Ça va bien, monsieur? La commerçante est ici? La porte était presque fermée alors je me demandais..." Le retour à la réalité est brutal. Un garde de sécurité d'une cinquantaine d'années se tient devant moi et attend une réponse. Il n'a pas vu ce que j'observais. - " Si, si!, dis-je assez fort pour être entendu par les filles dans la cabine. La vendeuse est en train de… conseiller ma femme pour une robe. " Le garde se dirige vers la caisse, en tripotant quelques articles. Discrètement, j'ai observé les genoux qui se sont redressés. Pendant un moment, ni les pieds, ni les bottes n'ont bougé. Les deux femmes doivent certainement s'employer à effacer toute trace visible de leurs instants de volupté. Natasha n'a pas joui. Moi, non plus d'ailleurs mais, moi, je n'en aurais pas eu le loisir. Finalement, la porte s'ouvre ne laissant sortir que la vendeuse. Elle me lance un regard complice. Julie semble me dire deux fois merci. D'une part, de lui avoir offert Natasha et, d'autre part, de lui avoir sauvé la mise avec le gars de la sécurité. Dans le premier cas, je songe : " Je n'y suis pour rien. De toute façon, c'était un plaisir de vous voir faire, même si " voir " est un bien grand mot… ". En ce moment, j'ai la tête dans un nuage, un peu comme lors d'un réveil trop brusque. Je n'ai pas vu Natasha remettre son jeans. Elle sort à son tour de la cabine. Elle serre les dents et lève les yeux au ciel. Elle semble dire : " Qu'est-ce qu'il avait besoin d'arriver celui-là! ". J'acquiesce en levant moi aussi les sourcils. Alors, Natasha dépose toutes les robes sur un tourniquet, ne conservant dans les mains que celle, à lanières, qu'elle avait porté quelques minutes à peine, avant de s'en défaire et de se donner tout entière. Elle s'approche de la vendeuse. - " Des clients me demandaient si c'était ouvert ou fermé. Bon, alors, je leur dis que c'est ouvert? ", demande le type au comptoir. Natasha dépose la robe devant le gardien. Puis, s'adressant à Julie avec un sourire complice, elle dit : " C'est celle-là que je prends. J'ai bien aimé les petites lanières. " Auteur : Mateo
Par Mateo - Publié dans : Le goût des autres
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