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Le goût des autres

Jeudi 16 février 4 16 /02 /Fév 13:42
Je sais, l'image n'a pas grand chose à voir avec cette histoire magnifique que Mortelune vient de m'envoyer. Je ne résiste pas à l'idée de vous la proposer, en attendant que j'en trouve une autre, plus adaptée. Merci à toi Daniel de ton texte et bonne lecture à vous chers lecteurs... c'est plus que de la littérature érotique, c'est de l'amour que Mortelune vous livre là.



L'homme se tient debout devant la tombe. Il y a bien quelques personnes qui l'entourent, mais il est seul. La cérémonie est terminée depuis longtemps. Il est seul. Ceux qu’il ne peut considérer que comme des badauds partent. Il va rester là de longues heures, sans bouger. La perte de quelqu'un peut être très douloureuse. Dans certains cas, cette douleur n'est même pas présente. Juste un grand vide dans la tête, le cœur. Plus rien n'existe. Alors, l'homme reste là. Il attend. Il espère entendre une voix lui dire : « C'est beau ce que tu as fait ». Il attend.

Imaginez-vous tranquillement en train d'attendre un bus en retard. Pas d'énervement, juste une patience à toute épreuve. Vous survolez du regard les quelques personnes qui sont là, avec vous... Rien à signaler, des gens quelconques, ceux avec lesquels la conversation se résume à des considérations météorologiques de novices, pas très engageant, à moins d’être un extraverti forcené, ce qui est loin d’être mon cas.

En fin bref, bon, vous voyez le tableau ? Tout le monde a vécu ça un jour ou l'autre. Ca s'appelle « l'ennui profond du quotidien » ou le « train-train », c'est selon. C'est ce que je vivais ce jour là. Puis, une apparition, un rayon de soleil, un grand waw dans la tête... Elle !

Oui, je sais, c'est pas trop original, mais c'est ce que j'ai ressenti, vous comprenez ? Oui, vous comprenez ! Ca aussi, ça arrive à tout le monde... croiser soudain quelqu'un qui vous plaît au premier regard, sentir votre cœur se vider, puis se remplir, puis se vider,… Pire qu’une injection d’adrénaline directement dedans, le flash, quoi !

Elle arrive donc et va se placer dans la petite troupe, au coin opposé au mien. Coups d'œil furtifs, rester discret, après tout, je la connais pas. Elle me regarde aussi... Moi ? Oui, nos regards se croisent. Je dois l'agacer. J'arrête.

Le bus finit par se décider à arriver et nous montons dedans. Je vais m'installer dans le fond. J'aime bien le fond du bus, un excellent poste d'observation. Elle me suit et s'assied sur la banquette devant la mienne.

Bien, me dis-je, je vais pouvoir admirer ses beaux cheveux, découvrir peut-être quelques parcelles de cette nuque, de cette peau... Non, elle se retourne, elle me regarde, elle me laisse même pas le temps de reprendre mon souffle avant de me lâcher : « Tu me plais ! ».

Qu'est-ce que vous voulez répondre à ça ?

Rien...

L’instant s’est figé un moment. J’ai regardé ses yeux. Ils ne mentaient pas. J’ai vu sa bouche s’entrouvrir en ce que je pensais être un sourire. Elle avait une mèche de cheveux qui venait d’être remise en place par sa main délicate. Et…

Le temps s’est accéléré... Elle s'est redressée et, par dessus le dossier de la banquette, elle m'a embrassé, longtemps, une nouvelle éternité à vrai dire... Ce n’était pas un sourire, c’était une invitation, un appel.

Ca, c'était notre première rencontre... Je ne savais rien d'elle, rien du tout...

Ils sont assis à une terrasse, en bord de mer. Ils se parlent à peine. Les regards qu'ils échangent sont doux comme des sourires d’enfants. Ils sont jeunes. Ils donnent l'impression de se connaître depuis des années, comme s'ils avaient grandis ensemble. Leurs mains se caressent, leurs lèvres se joignent. Elle se lève d'un bond et se met à courir vers la plage. Il la poursuit en riant. Elle s'arrête au bord de l'eau, le provoque du regard. Il retire son t-shirt, ses chaussures, et court vers elle. Elle se dérobe au dernier moment, le pousse dans l'eau. Ils jouent, enfants insouciants. Image d'Epinal de l'amour, en toute simplicité, en toute sincérité.

Passé la première surprise, je me suis ressaisi un peu. J'ai réussi à bredouiller quelques mots. Elle m'a juste regardé en souriant. Un regard chargé de désir, de promesses et de rêves. Je ne sais pas si j'aurais été vraiment séduit par elle si elle m'avait demandé l'heure, du feu, ou mon signe astrologique. C’est trop con de demander ça pour aborder quelqu’un, d’un banal à faire fuir.

Mais là, elle m’a juste dit : « Tu me plais ! ». Vous vous rendez compte ? « Tu me plais ! », à moi ? Oui, à moi et rien qu'à moi. Pourtant, je ne suis pas une gravure de mode, plutôt banal. Attention, pas moche non plus, respectez mon semblant de fierté, mais banal. C'était la première fois que ça m'arrivait. Elle, en plus. Il fallait que ça soit elle.

Plus tard, nous sommes descendus du bus. Promenade sans but, main dans la main, baisers, caresses discrètes, de celles qui sont permises en public, histoire sans parole, juste les sens, le bien être, le bonheur de l'instant.

Par après, nous sommes rentrés chez moi... C'était toujours notre première rencontre et je savais toujours rien sur elle. Mais j'étais heureux. Vous vous posez des questions quand vous êtes heureux, vous ?

Il est assis chez lui, dans le salon, la tête entre les mains. Des larmes coulent doucement le long de ses joues. Pas de sanglots, pas de hoquets, pas de reniflements incongrus, juste des larmes qui s’écoulent, seules. C'est fini. Tout est terminé. Il regarde la pièce déserte de toute présence, les yeux perdus dans le vague, comme s’il contemplait des fantômes. Il n'ose pas regarder vers la chambre, pas maintenant. Il est là, nu, sale, émacié, mal rasé, épuisé surtout. Il pleure encore en se prenant la tête dans les mains. Plus tard, il se redressera, appellera quelqu'un. Un médecin ? La police ? Il ne sait pas encore. Il n'a plus envie de penser, pas pour le moment, parce que c’est fini.

Bien sûr, nous avons fait l'amour. Nous nous sommes abandonnés l'un à l'autre. D'abord, avec une passion proche de la bestialité. Je voyais son regard fou se poser sur moi quand elle se redressait en gémissant. Je devais sans doute lui rendre le même. Je ne souviens plus trop bien. Juste des bribes de sensations, de moments. Ses jambes s'enroulant autour de ma taille pour me donner son rythme, mes mains courant dans son dos caressant sa peau, étreignant ses seins, ses lèvres soudées aux miennes, nos langues entrelacées, le goût de sa sueur, qui se mélangeait à l’odeur de son sexe, sa peau me parlait, ses gémissements se contractaient,... Confusion totale des sens.

Nos corps ont fini par s'apaiser au bout de l'infini. Apaisés, mais pas rassasiés, nous avons recommencé, plus en douceur, plus en tendresse. Tout ça reste fort confus pour moi. Je sais juste que j'avais une impression de plénitude à chaque instant, que j’ai seulement commencé à ce moment à la découvrir vraiment, que j’ai exploré chaque parcelle de son corps magnifique, que j’avais ouvert tous mes sens pour elle. Elle souriait. La folie de ses yeux avait fait place à une douceur infinie. J’hésitais parfois à l’embrasser rien que pour plonger dans ce regard et lui rendre en une éclaboussure de bonheur. Douceur, douceur, douceur, et plénitude. Je ne la pénétrais pas, elle m’accueillait. Je ne la prenais pas, elle s’offrait. Et je m’abandonnais dans cette offrande, je me laissais porter par un rythme que nous étions seuls à entendre. Notre jouissance fut à l’image de cette tendresse, un long crescendo sans réel sommet.

Après, nous nous sommes endormis. Elle s’était enroulée sur elle-même au creux de mes bras, dans l’abandon de la confiance. Je crois que, avant de sombrer moi-même dans l’oubli, j’ai soudain compris ce que ça voulait dire d’être un homme.

Nous venions de faire l’amour et je ne connaissais même pas son prénom.

Ils font l’amour sans cesse. Son regard à lui est grave. Elle a les yeux cernés, son visage est creusé, sa peau est d’une pâleur effrayante. Ils font l’amour encore et encore. Il ne s’arrête que pour fumer de temps à autre une cigarette, boire un peu d‘eau. Elle l’attire à lui dès qu’il a terminé, de plus en plus faiblement, mais toujours avec ce désir dans ses yeux. Il lui rend ce désir avec tristesse, résignation. Il lui a promis. Ils iront jusqu’au bout. Il sait que c’est de la folie. Il secoue la tête et se recouche sur elle, reprend cette danse à la limite du macabre.

Le lendemain, j’ai appris son prénom. Il s’est gravé dans ma tête et n’en sort plus. Il me suffit d’y penser et tout chante en moi. Il m’arrivait de le prononcer doucement comme un soupir, comme un secret qu‘on a envie de partager.

Nous avons encore fait l’amour plusieurs fois avant qu’elle ne parte. Elle n’a pas voulu me donner son numéro, ni son adresse. Elle m’a juste dit qu’elle reviendrait et je n’en ai pas douté. Je n’ai même pas demandé quand. L’attente a commencé dès que je l’ai vue tourner au coin de la rue depuis ma fenêtre. Elle m’a jeté un dernier regard plein d’amour avant de disparaître. J’ai mangé un peu, tenté de regarder la télé, de lire un livre,... Son prénom m’obsédait. Puis-je vous le chuchoter ? C’était « Lorena », un prénom de déesse. Ca lui allait si bien…

Le sommeil s’est fait attendre ce soir là. Pourtant, j’étais épuisé. Le lendemain, j’ai eu l’impression fugace qu’elle était là. Ce n’était que son odeur dans les draps. J’ai enfoui ma tête dans le lit pour m’en imprégner.

J’ai attendu plusieurs jours qu’elle réapparaisse. L’angoisse faisait place à la tristesse, qui faisait place à l’espoir, qui faisait place à l’angoisse, mais jamais à la colère car je savais qu’elle reviendrait. Elle est enfin revenue comme si elle ne s’était absentée que quelques minutes. Nous nous sommes enlacés longuement, sans un mot. Je ne la connaissais toujours pas et j’étais à elle, rien qu’à elle.

Ils se regardent sans un mot. Ils se contemplent. L’un est le reflet de l’autre, du pur bonheur. Ils sont assis dans un restaurant et se tiennent la main en attendant les plats. Le serveur arrive. Ils mangent en silence pour ne pas rompre cette magie qui les entoure comme une bulle protectrice. Ils terminent. Lui s’allume une cigarette. Il semble un peu nerveux. Il fouille dans sa poche et en sort une petite boîte. Elle comprend très vite de quoi il s’agit. Ses traits se figent. Elle sort la bague, la regarde d’un air méprisant et la dépose dans l’assiette. Elle part. Il reste songeur. Pourtant il devrait comprendre qu’elle ne peut pas concevoir l’amour avec des liens si matériels. On ne possède pas l‘autre, on est possédé par lui. Il se lève aussi et laisse la bague dans l’assiette. Il court pour la rejoindre.

Nous avons vécu ce qu’on peut appeler une histoire magnifique. L’impression permanente que rien ne pouvait nous arriver. J’ai appris peu de choses sur sa vie, mais je savais tout de ses goûts, de son intelligence très vive, de sa joie de vivre, de son envie de ne pas se poser de questions, de ne pas en poser aux autres, aussi. Je me suis aussi laissé aller. Je l’ai suivie. J’ai compris ce qui me manquait tant, mais que je ne percevais pas: la sensation d’être aimé à ce point. Elle m’a ouvert les yeux, à moi, aveugle de naissance.

Notre histoire aurait pu durer des années, des siècles. Mais un jour, après avoir fait l’amour chez moi, elle est restée trop silencieuse. Elle avait l’air si triste que je me suis penché vers elle pour la serrer. Elle m’a repoussé doucement et m’a regardé droit dans les yeux. Elle n’était pas triste, elle avait peur. J’ai voulu la rassurer par mes gestes, par mes paroles, mais elle m’a fait taire. Elle m’a alors demandé cette chose insensée. Elle voulait que nous restions là, tous les deux, que je lui fasse l’amour jusqu’au bout quoiqu‘il arrive, que rien ne m’arrête. J’ai d’abord cru qu’elle plaisantait, mais son regard était trop sérieux. J’ai eu un vertige. Je n’ai pas posé de question. Je n’ai pas tenté de la raisonner non plus. Elle m’a fait promettre et j’ai promis. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je devais le faire.

J’étais possédé, mais dans quel sens ?

Elle ne bouge plus. Il continue encore un peu. Elle n’a plus de réactions. Il se penche pour l’entendre respirer. Rien. Son coeur s’arrête aussi pendant un long moment. Il s’écroule sur ce corps désormais inerte. Il va rester là longtemps, figé dans une parodie d’étreinte. Plus tard, il se lèvera enfin, se dirigera vers le salon, allumera une cigarette. Pour l’instant, il n’arrive plus à bouger. Les amants se sont figés. La sculpture aurait pu être parfaite, mais un souffle anime encore un des deux corps.

Alors nous avons commencé ce rituel voulu par elle... Des heures durant, je lui faisais l’amour. Je dormais, elle veillait. Je mangeais, je buvais, elle restait là, en attente. Elle refusait tout sauf mon amour. Je la sentais partir peu à peu. D’abord ses caresses, puis ses baisers, puis son regard... tout s’éteignait au fur et à mesure. J’ai perdu la notion du temps. Nous étions confinés dans ma chambre, volets fermés. Je n’en sortais que pour manger, vite, ne pas la laisser seule trop longtemps. J’avais peur de l’inévitable. Vous me comprenez ? Elle m’avait fait promettre ! Je savais qu’elle irait jusqu’au bout, je devais faire de même. J’étais lié à sa volonté. Non, vous ne me comprenez pas ! Vous vous dites que j’étais fou, que j’aurais du la forcer à vivre, l’obliger à se nourrir, la faire sortir de ce rêve idiot de mourir en plein amour, au moins lui demander une raison valable de faire ce voyage insensé... Non, je ne pouvais pas... C’était elle qui me l’avait demandé ! Elle ! Ce n’était pas un sacrifice ! Je ne veux pas considérer ça comme un sacrifice. Je ne peux pas ! Comprenez-moi, je vous en prie !

Il se tient devant la tombe, attend toujours cette phrase qui le délivrera. Combien de temps va-t-il attendre ? Combien de temps va-t-il tenir ? Elle ne viendra plus et lui, il l’attend.
Par Mortelune - Publié dans : Le goût des autres
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Mardi 29 novembre 2 29 /11 /Nov 09:57
Elle s’était allongée sur le lit, le plus près du bord possible de peur de déranger l’homme allongé à ses côtés. Immobile, les yeux fixés sur le plancher, elle respirait à peine, pour le laisser dormir. Une fois son voisin de lit endormi, elle oserait enfin bouger discrètement afin de, à son tour, rejoindre les bras de Morphée. Son compagnon de couette nevoyait pas les choses de la même façon. Cherchant le contact, la douce chaleur féminine, il s’allongea contre elle, le visage enfouit dans sa nuque, la main posée sur son épaule. Soulagée, un timide sourire aux lèvres, elle osa alors fermer les yeux, sentant qu’elle pouvait s’endormir sans crainte.   La lumière éteinte, un unique rayon lumineux traversait la chambre depuis l’espace entre les rideaux, désignant sur l’avant-bras de la jeune femme, une main virile redoublant de tendresse à mesure qu’elle rejoignait le coude. Incertain, l’homme stoppa là son exploration, la main posée sur le coude. Son pouce caressait distraitement cette peau fraîche, de façon plus ou moins régulière, au rythme de sa respiration… C’est alors que la jeune femme bougea. Elle avança son bras, laissant glisser sur ses reins la main curieuse et déplia légèrement les jambes. Le corps moins crispé, sa respiration devint plus détachée, son souffle plus lent. Son cœur en revanche, ne savait plus où donner de la pulsation. Excitation, désir, tendresse… Tout se mélangeait, s’entrechoquait et donnait un patchwork de sensations plus ou moins bien connues, plus ou moins bien définies. Prenant ce mouvement pour un feu vert, l’homme caressa les reins, laissant la main errer de plus en plus bas, atteignant ainsi le ventre qu’il maintint alors, doucement mais avec fermeté. La belle enfin captive, les corps se rapprochèrent. Les jambes s’entremêlèrent, les peaux se frôlèrent d’abord, pour finalement s’appeler l’une à l’autre. Un frisson traversa le corps de la jeune femme, offrant à son ami la possibilité de la serrer contre lui, prétextant de la réchauffer, d’enfouir davantage son visage contre la nuque et, tendrement, de déposer un baiser à la naissance de l’épaule.   Sereine, la belle s’endormit, bercée par la respiration contre son cou. Elle ne dormait plus dans le même lit que son ami, ils dormaient à deux…
Par suzybellulue - Publié dans : Le goût des autres
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Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 00:00

Il etait a a peu pres deux heures du matin, je quittais le bar après une soiree assez arrosee mais sans etre saoul, juste un peu gai.

Il me fallait, pour rentrer chez moi tranquille, passer par le canal de Rochdale. L'endroit etait repute pour etre un lieu de drague cela dit il faisait froid en ce matin de Novembre et je doutais qu il y ait quelqu un, sinon peut etre, un dealer ou des escorts a la recherche de clients.

L endroit etait assez sombre seule la lumiere de quelques reverberes et leur reflet sur le canal percait le brouillard.

C est en passant sous le premier pont que j ai apercu son ombre, j'étais un peu surpris de rencontrer une autre “ame” que moi a ce niveau puisque j avais deja passé la partie ou on draguait, dealait…

Je m allumais une cigarette, et ralenti mon pas.

Il etait appuye contre l un des muret juste avant le second pont. Entre lui et le canal il n y avait qu un petit chemin d a peu pres un metre de large. Il fallait d ailleurs penche un peu la tete une fois sous la voute du pont.

En le croissant, je n ai pu m empecher de plonger mon regard dans le sien. Ses yeux etaient sombres et brilliants. Ses sourcils etaient assez fournis mais bien dessines, sa machoire carree, mal rasee, ses levres ni fines ni epaisses. Il portrait un bonnet court de marin.

Je fis quelque pas et m arreta en faisant mine de regarder l eau du canal.

Tres vite il s approcha de moi, alluma une cigarette, s appuya sur la balustrade en tournant  le dos au canal. Je pouvais entendre ses mains caresait sa pine a travers son jean.
L excitation montait.
A mon tour je me mis dos au canal, et commencais a me caressais. Malgre le froid j avais une puissante une erection qui me faisait mal d etre contenu dans si peu d espace.
 Il tourna la tete vers moi, me regarda me caresser et sorti l objet de mon excitation de son jean.
Un longue, epaisse et noueuse queue, a peine decalotee, surmontant deux testicules de bonnes tailles et velus.
Ses mains fortes et longues la caressaient doucement, son regard etait plonge dans le mien.

Je pris sa pine dans les mains, d abord, pour la caresser, palper ses couilles et faire monter sobn excitation. Le seul fait de saisir la durete de son organe me fit lacher un leger rale de plaisir.

Je me suis tres vite retrouve a genou, ma langue caressant le bout de son gland d abord, me levres le decalotant completement .
Je savourais le gout sale de son meat, l epaisseur de son gland que je contenais difficilement dans ma bouche, l odeur chaude de ses couilles.
Je pris doucement la totalite de sa pine au fond de ma gorge, je sentais la chaleur de mon corps monter, de fines gouttelettes de sueurs couler le long de mes poils dans la raie de mes fesses.
Ma main droite le masturbait alors que ma langue et mes levres s occupaient de son gland et de ses couilles.
Je pouvais entendre son plaisir et sentir son ventre et ses jambesse contacter pour ne pas jouir trop vite.
Je lui fit comprendre de se retourner en baissant son jean .
Son cul etait muscle, rebondit comme une pomme avec des faussettes de chaques cotes, legerement velu et tres attirant.
J avaismis sa queue entre ses deux jambs afin de pouvoir le sucer tout en passant ma langue dans son anus chaud.
J avalais toutes ses essences, ma langue visitant toutes les recoins de cetet partie sombre.
Il se retourna de nouveau et me demandant dele sucer encore. Ce que je fis tout en me masturbant.
Apres quelques va et vients, je goutais a son nectar chaud et abundant.
Mon excitation etait telle que tres rapidement a mon tour, j eclatais sa bite toujours dans ma bouche couvrait a peine mes rales de plaisir.

Il m embrassa, et me serra fort, on a pase quelque dizaines de minutes comme cela sans rien dire puis nous nous sommes quittes sans rien dire.

Je ne l ai jamais revu
 
Par Jak - Publié dans : Le goût des autres
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Mardi 12 avril 2 12 /04 /Avr 00:00
Autre tabac mais une grande simillitude dans l'excitation de ce texte reçu... le même jour que celui de Petitange.
Fumeurs, la mode est à la pipe cette année?

Frob est un de mes vieux amis, il y a des années (des années te rends-tu compte?? :-)) que nous nous connaissons. Ou plutôt, que je pensais bien le connaître... comme quoi!

Merci et bises à toi mon Frob des Alpes (marque déposée) pour ce texte plein de vie et de surprise.
Ady




Ado, une periode ou l'on se cherche, où l'on fantasme sur tout, sur rien, où la complicité entre potes et l'envie de decouverte dépassent parfois l'attirance qu'on peut avoir pour le sexe opposé ...
Une periode où on passe ses week-end l'un chez l'autre, où, par manque de place, on partage un bout de lit.

Et un soir, la complicité, la promiscuité, la chaleur de l'été, la fumette et l'alcool aidant ... Ma main qui glisse sous le drap et se pose sur sa hanche ... L'absence de réaction assimilée a un encouragement ... Sa rotation vers moi ... Notre exitation mutuelle ... Et mon visage qui file rejoindre avec hesitation ses abdos ... Son plaisir est réel et se sent, il me suffit de faire sauter 2 boutons de son calecon pour le libérer et l'engloutir.

L'effet de surprise passé, je découvre le goût d'un sexe d'homme bandé, bien enfoui dans ma bouche. Je m'en délecte découvrant ce plaisir jusqu'alors inconnu visualisé uniquement sur petit écran.Tantôt quasi toute entière dans ma bouche, tantôt suçant uniquement le gland décapuchonné, tantôt léchant toute la hampe ou bien jouant de ma langue autour du gros bourrelet du prépuceje me régale sûrement autant que Laurent.

Celui-ci ne bouge pas et reste silencieux, surement aussi tétanisé que moi par ce plaisir interdit. Cette masse de chair semble vivre dans ma bouche comme si elle avait une vie propre, semblant encore durcir, semblant encore grossir sous mes caresses. D'une main, je soutiens ses bourses, les palpant, les faisant rouler sous mes doigts, les soupesant, m'en amusant comme d'un jouet. Lolo semble apprécier, sa respiration change, son bassin s'agite comme pour accompagner ma masturbation buccale.

Drôle de situation où moi, puceau fantasmeur devant un cul moulé dans un 501, je me retrouve la queue de mon meilleur ami dans la bouche ... À quelques crispations de sa verge dans ma bouche et à un changement de la salinité du goût, j'ai qu'il était prêt à jouir. Que faire, le retirer de ma bouche ou être le réceptacle de son sperme comme dans mes fantasmes ?Je n'ai pas eu beaucoup le temps d'hésiter ... Aux soubresauts de son corps j'ai compris que le moment était venu. Effectivement, de longs jets brûlants se sont précipités dans ma bouche et jusque dans ma gorge.. il jouissait avec abondance et éjaculait un liquide épais qui innondait ma bouche. Cela ne semblait plus devoir s'arrêter.

A peine relevé, n'osant le regarder, j'ai sentis sa main glisser sous mon calecon devenu trop serré ...


Frob

Par Frob des Alpes - Publié dans : Le goût des autres
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Dimanche 10 avril 7 10 /04 /Avr 00:00


Luke est un jeune homme plein de vie, beau comme un dieu de l’amour…
Blond, les yeux bleus gris, un corps musclé et ferme à couper le souffle, c’est comme avoir la perfection faite homme entre ses mains.
Et c’est peu de le dire, ce jeune ephèbe est équipé d’un membre de pres de 24 cm ! Une chose merveilleuse, longue, large, lisse comme une peau de bébé, avec un gland délicieux à déguster…
Mais voilà, le problème, c’est que ça, se faire sucer, ça l'interessait pas !Les quelques tentatives faites pour approcher ma bouche de cette delicieuse saveur, afin de satisfaire ma propre envie, ont été interrompues systématiquement par ses mains qui me retenaient.

Ce qu’il préférait c’etait m'enfoncer son enorme sexe dans ma petite chatte toujours humide et acceuillante, il trouvait son plaisir à me pénetrer de plus en plus fort, jusqu’à me sentir me crisper sous ses coups de boutoirs, entre l’extase et la douleur… sentir ce membre taper au fond de mes entrailles, frotter contre mes parois fragiles… et plus il y allait fort, plus j’en réclamait, c’etait ca qui l'excitait, avoir peur de me faire mal et se rendre compte que j'aimais ça...

Mais je suis allée le voir un jour ou j'étais indisposée, un jour ou je savais qu'il ne me ferait pas l'amour...Nous devions passer une simple après-midi a regarder des films, mais je le sais, il ne peut rester a coté de moi sans céder rapidement à la tentation...De plus j'avais fait expres de me mettre en robe, pour devoiler mes jambes allongée et alanguie sur son canapé...
Nous avons mis le premier film prévu, mais a peine le générique commencé, il me caressait les jambes, remontait le long de mes cuisses...
Son sexe grossissait rapidement sous son pantalon de toile legere, il etait nu en dessous, je le savais. Mes mains ont delicatement defait les liens qui me separaient de son intimité... lorsque je l'ai libéré, son membre s'est dressé devant moi, tout gonflé d'excitation. Lentement, je me suis laissée glisser du canapé et me suis placée devant lui entre ses jambes, plantant mes yeux dans les siens...

« Tu vas me laisser faire, cette fois-ci... » lui ai-je dit.

Avec toute la delicatesse du monde, mes doigts fins se sont posés sur sa verge, l’effleurant doucement comme un papillon... je salivais dejà beaucoup et lorsque ma langue s’est posée lentement sur le gland, elle s'est mise a glisser toute seule. Je jouais de facon tres langoureuse, sans aucune brusquerie, avalant petit a petit son gland.

Lorsque j'ai levé les yeux vers lui, il y avait une telle expression de surprise sur son visage que je me suis immobilisée un instant, mes yeux dans les siens. D’une voix tremblante comme je ne lui avait jamais entendue il a chuchotté « continue ! » presque sans souffle.
Excitée par sa demande, lui qui n’en exprimait jamais aucune, je ne me suis pas fait prier ! J’enfoncais de plus en plus sa verge dans ma gorge, je l'ai senti se tendre, je l'ai entendu gemir, et d’un coup il m'a attrapé les cheveux afin de m'imposer son rythme, de plus en plus fort de plus en plus rapide, je ne pouvais plus respirer tant ma gorge etait envahie de lui, mais je ne reflechissais deja plus, je m'accrochais a lui comme une furie...J'ai senti les secousses monter dans son corps et arriver le long de sa verge... ouiii ! il allait jouir ! j'en mouillais de plaisir !
Sa seve m’est entree dans la gorge, je suis remontée sur son gland pour tout prendre dans la bouche, gouter sa saveur abondante, explosive, il a grogné, s’est accroché au canapé a le déchirer. J'ai avalé son jus par petites gorgees pour le gouûer, le déguster...

Les minutes qui ont suivies, j'ai vu mon jeune Luke pétrifié de stupeur, fixant le plafond...Il a baissé les yeux vers moi et a murmuré « merci... ». Car jamais il n'avait joui grace à cette caresse enchantée, jamais il n'avait joui dans la bouche d une femme, jamais il n'avait exprimé sa jouissance de cette facon sonore, et jamais il n'a avait joui comme ca, tout simplement...

Petitange et Dragon
Par Petitange et Dragon - Publié dans : Le goût des autres
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Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 00:00
Chère Ady, je te transmet un texte écrit par l'un de mes admirateurs.Je trouve sa facon d'écrire plus délicate que la plupart des hommes, et l'émoi qu'a créé cette missive, j'aimerais te le transmettre, meme si je sais que souvent tu as des gouts, disons... plus crus...
Petitange et Dragon




"J aimerais pendant que tu lis ce message, me glisser derriere toi, sans bruit, relever tes cheveux délicatement, poser mes levres sur ton cou....
Te sentir tressaillir, ma langue glissant sur ton oreille,je la mordille, et en te glissant de le creux de l'oreille "Ma cherie tu es ravissante, j'ai envie de toi"...
Je fais pivoter ta chaise, j'enjambe tes jambes, je suis face a toi. Je me penche vers toi, ma bouche vient se coller à la tienne, ma langue titille tes levres qui s ouvrent. Elle s'insinue dans ta bouche, cherche la tienne, elles s'enroulent, se cajollent, je gobe ta levre inférieur, nous gémissons tellement ce baiser est bon....

Nous n'arrivons plus a nous arreter, la fougue de nos baisers déclenche en nous une excitation terrible..... De mes mains qui parcourent ton corps, je degraffe ta chemise, je la fais tomber de tes epaules, et découvre tes seins, galbés par ton soutien gorge.....Ma bouche descend le long de ton coup, la peau est douce soyeuse, tu frissonnes....J'atteinds ton decolletté, j embrasse tes seins, écarte le soutien gorge afin de pouvoir atteindre tes tetons qui se dressent sous les caresses. Je suis tjrs a cheval sur toi, tu me repousses pour pouvoir m'enlever ma cravate, puis bouton apres bouton, tu défais ma chemise.....
Je t'embrasse à pleine bouche, tu viens coller ta bouche sur mon torse, tu joues avec ta langue, tu agaces mes tetons.....Je suis dans un etat second, mon excitation est de plus en plus forte, tu vois la bosse qui deforme mon pantalon, grossir de plus en plus......

Nous sommes torse nus tous les deux, je te sers fort contre moi, je sens tes seins contre mon torse, j'adore cette sensation, nos deux bouches se retrouvent, s'enlacent.......Je ramasse ma cravate, qui jonche le sol, j'attrape tes mains et je te les ligote dans le dos, en te glissant a l'oreille " C'est moi qui vais m'occupper de toi ma chérie"....... je fais descendre ma bouche, sur ton ventre, j'atteinds ton pantalon, mes mains effleures ton sexe atravers ce pantalon.......
Je le défais petit a petit, decouvrant ton string.....je te fais soulever les fesses afin de pouvoir te l'enlever........Ma main caresse ton string déjà moite, mes doigts accentuent la pression juste sur ton minou et ton clito..... Ma bouche vient embrasser ce fruit delicieux a travers le tissus, tu sens le souffle chaud de ma respiration......Ma langue se ballade, sur l'aine, sur le tissu, mais son toucher est delicat, juste une petite pression de temps en temps, je fais le tour de ton minou, sans toucher les endroits strategique.....j'écarte ton string, je leche juste l'exterieur de tes levres, je vois ton petit bouton grossir, tes lèvres s'humidifier.....

Combien de temps vais-je résister à l'appel de ce fruit defendu et a son nectar......Pas longtemps, ma langue s'engouffre en toi, j'ai tellement attendu, elle glisse de bas en haut, de haut en bas, je m'attarde sur ton clito, le titille, l'aspire.....Je le titille juste du bout de la langue, avant de me jeter dessus......j'entend tes gemissements, mes doigts rejoignent ma langue, ton nectar s'écoule.....Ceci n est que le debut de ma facon de te faire l'amour..."

Demonio
Par Petitange - Publié dans : Le goût des autres
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Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 00:00


Partant pour la suisse, Adelaïde a réservé une couchette.
Elle partage son compartiment avec un jeune homme de dix sept ans peut-être.

Après le repas au wagon restaurant, un homme assis en face d’elle lui offre un café. Adelaïde accepte volontiers. Pendant qu’ils discutent, Adelaïde sent le désir envahir son ventre. Quand ils ont terminé, elle propose à l’homme de l’accompagner dans son compartiment.
Dès qu’ils ont fermé la porte, ils s’embrassent et s’enlacent en tombant sur la couchette. Adelaïde défait son corsage pendant que l’homme lui retire sa jupe et sa culotte. A côté, le jeune homme est déjà couché. Il a du entendre et s’est peut-être réveillé.

L’homme enlève rapidement son pantalon et son slip.
Ils se caressent longuement. L’homme lui mordille le cou, les seins et le ventre en effleurant sa peau du bout de ses doigts.
Adelaïde caresse la pine déjà dure et grosse. L’homme glisse un doigt dans la fente humide et la branle en faisant rouler le clitoris sous son index. Sa vulve suinte lorsqu’elle jouit. Adelaïde a envie de recevoir sans attendre la queue de l’homme dans son con.
Il la saisi sous les fesses et plonge son chibre dans le con frémissant. Il la fouille dans tous les sens avant d’inonder son sexe de son foutre. Il a vu le jeune homme se retourner sur sa couchette et les regarder pendant leurs ébats.
Adelaïde se retourna et dit au garçon : « Tu nous as regardés hein, et ça t’a fait bander. Eh bien, prends moi si tu en as envie ».
Le garçon d’abord surpris, se lève, enlève son pyjama à rayures et s’approche d'elle.Il transpire à grosses gouttes. Adelaïde a replié une jambe et laisse l’autre pendre au bord de la couchette dans une position obscène.

L’homme s’est assis sur la couchette inoccupée du jeune homme. « Baise la maintenant puisqu’elle te le demande ! » Lui dit-il d’une voix sèche.
Le garçon se penche sur Adelaïde. Elle saisit sa verge et l’introduit dans sa vulve entrebâillée. Elle resserre son vagin sur la queue novice. Le gamin éjacule vite après quelques mouvements.
Le garçon va s’asseoir sur la couchette à côté de l’homme qui lui tend une cigarette. Adelaïde s’assieds sur la couchette d’en face, les jambes écartées dans un posture soumise.
Quand ils ont fini leur cigarette, ils recommencent à la baiser. Soit ensemble, soit chacun leur tour, l’un baisant, l’autre regardant. Avec le temps, le garçon prit plus d’assurance.
La nuit est presque terminée, le train arrive en gare de Lausanne. L’homme est déjà sorti du compartiment depuis un moment.

Le garçon qui n’ose pas regarder a quitté le compartiment pour rejoindre sa mère qui l’attend sur le quai.

Daniel
Par Daniel - Publié dans : Le goût des autres
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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 00:00




Je viens de relire ton mail, pour compenser le manque.... relire et relire encore me laisse pantelante, chancelante... d'émotion, de desir et de plenitude, d'être desirée et de desirer...

A mon tour d'écrire ce qui me passe par la tete : un matin de semaine, vers 5h30, j'ai quitté le boulot un peu plus tot...

Je rentre en silence, je me deshabille en douceur, essaimant mes vêtements partout sur mon chemin jusqu'à notre chambre.
.


Je n allume pas la lumiere, tu as laissé une veilleuse qui delivre un halo rouge tendre dans la piece pour que je ne cherche pas mon chemin jusqu à toi... tu es couché sur le ventre, un peu de coté, le dos et une jambe hors des draps défaits, comme si tu avais lutté toute la nuit contre le desir...
Je sais deja que tu as revé de moi, transpiré sous tes propres carresses, tu degage un parfum d amour qui exite mes sens, je sais que tu as joui, déjà, cette nuit, sans moi, et ca m'échauffe encore plus... Je suis au pied du lit, nue, j'entends ta respiration douce et calme..

Du bout des doigts, je touche, j'effleure le creux de ta cheville, la où la peau est fine et douce, tu as un frisson, tu ne sais pas encore que je suis là, tu es dans un sommeil profond... toujours du bout des doigts et tout en me glissant comme une plume sur le lit, je remonte le long de ton mollet jusqu au creux de ton genou où je m attarde un peu tout doucement... puis ma paume se pose a la suite de mes doigts sur l'arrière de ta cuisse et je remonte vers le dessous de tes fesses, jusqu'au creux avant le rebondi, tu as un autre frisson, tu commence à douter entre réalité et reve, le pouce de ma main glisse un peu plus vers l'interieur à la limite de cet espace si doux entre les jambes... tu commences à sentir ma respiration contre tes fesses... tu crois etre encore en train de rever, tu n'es même pas encore reveillé... ma bouche s'approche de plus en plus et se penche, tu sens mon souffle sur le haut de tes cuisses.

Instinctivement, tu relève un peu plus ta jambe, et tes cuisses et tes fesses s'écartent par ce geste... je suis attirée comme un aimant vers cette zone douce et tendre de ta peau... tu sens le souffle chaud se rapprocher, ton excitation se décuple par anticipation. Une décharge électrique commence a te reveiller quand tu sens ma langue t'effleurer l'endroit...

Je sens que tu te reveilles, et je veux que tu sois reveillé par un trouble intense, alors pour ne pas rater cet instant ou tu sors du sommeil, je plonge ma langue jusqu'à la zone de mes desirs, tendre à croquer, ma salive se glisse et s'insinue a l'orée de tes testicules.

Je passe la tête entre tes jambes, te faisant pivoter sur le dos, tu te reveille de plus en plus sous ma fougue, je gobe tes oeufs et colle mon visage contre ton sexe en érection je le sens brulant sur ma joue, ma langue se glisse a la naissance de la verge, j'y colle mes levres et fait jouer mon percing le long des veines, tu gémis...
Je veux que tu te reveilles dans ma bouche, alors ma langue remonte le long ton sexe, je salive au point de glisser tout seul, et je gobe ton gland que je déguste comme une pêche trop mure et juteuse.
Tu as ce mouvement de contraction dans le ventre et les jambes... tu es reveillé mais tu veux rester dans cette torpeur, ca bouillonne dans ta tête, tu veux rester dans cet état à fleur de peau, de pure excitation...mais je te mène la vie dure, car j'avale ton sexe, la bouche dégoulinante la langue active, j'attrappe tes fesses a pleine main pour te maintenir contre mon visage, ma respiration est saccadée, je gémis d'excitation.
Tu en as la respiration coupée, incapable d'ouvrir les yeux le plaisir est trop fort, entre deux dimensions, tes mains saisissent ma tete, mes cheveux, tu grogne, tu gemis et ca m'excite encore plus....mes mains circulent dans ton entre jambes que j ai mouillée de ma salive, tout glisse, tout s'offre...

Mais maintenant tu es reveillé et je ne te maitrise plus, tu m attrapes par la nuque pour me forcer a remonter mon visage vers toi, je tente de resister pour continuer a te deguster mais tu me hisse vers toi pour te jeter sur ma bouche, alors je m abandonne a tes lèvres et devient douce et offerte...

Voilà ma facon a moi de te reveiller......................................"

Petit ange et Dragon
Par Petit ange et Dragon - Publié dans : Le goût des autres
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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 00:00


- Ah, tu crois ? bon, je vais faire court, m'a-t-elle défié.

Elle a ouvert ma braguette d'un geste vif et en a sorti habilement ma bite.
Elle l'a roulée entre ses paumes, puis l'a remuée et secouée avec énergie.
C'était plus efficace que si je l'avais fait moi-même.
Experte, elle s'est arrêtée juste à temps, en comprimant fortement mon tuyau pour que pas une goutte n'en sorte. Puis d'un coup, elle s'est baissée et m'a avalé tout entier en relâchant sa main.
Pris au dépourvu, j'éjaculais instantanément à grandes giclées.

Quel impeccable soulagement entre deux réunions de boulot.

- La prochaine fois, m'a-t-elle prévenu en se relevant et s'essuyant le coin de la bouche, ...me parle plus de ta femme.

Tu parles, pensais-je, la prochaine fois, je te parlerais de la stagiaire.


ess
Par ess - Publié dans : Le goût des autres
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