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days last everything

adimacb@yahoo.fr

Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 00:00


- Et toi, lui demande-t’il, quel est le plus secret et le plus hard de tes fantasmes ?
Laetitia réfléchit un instant avant de répondre
- Je refuse de te le dire
- Quelle chochotte tu fais ! Vas-y, raconte !
- Bien, tu l’auras voulu. Je fais souvent ce fantasme là, comme un rêve impossible. Je me vois déambuler tout un après midi dans les rues pentues de la croix rousse, je m’arrête dans un café aux vitres sales et à la devanture qui a dû être rouge au temps de sa splendeur. J’ai toujours aimé fréquenter ces bars un peu crasseux planqués dans les rues sombres de Lyon. Tu vois ?
A peine entrée entre dans le troquet infâme, des regards lascifs et transpiratoires se posent sur mon corps.
Au bout de quelques minutes, après avoir bu une bière mal réfrigérée, j’ai envie d’aller aux WC. Je me lève, demande au lourdaud difforme qui se trouve derrière le bar où sont les toilettes. Il me désigne le fond de la salle.
Je me dirige vers cette arrière boutique crasseuse sous le regard de quelques buveurs aux yeux cirrhosés. Et là, je me retrouve dans une salle exiguë pleine de fûts et de bouteilles vides. Dans un coin de la pièce, quatre hommes sont installés autour d’une table en train de jouer aux cartes. Je devine dans la lumière blafarde une autre porte sur laquelle est écrit WC en lettres vertes.
Lorsque je passe à côté de la table, l’un des hommes se lève brusquement et me saisit par la nuque et serrant ses doigts autour de mon cou, me force à s’approcher de la table. Tu me suis ?
- Je suis pendu à tes lèvres.
Le type me pousse vers la table.
- Reste avec nous ma chérie, on a besoin de fourrer nos grosses queues dans un petit trou bien chaud.
Je me retrouve allongée sur le dos, les jambes pendant hors de la table. Un verre de vin en se renversant a taché mon chemisier blanc. C’est comme si… en fait, ils sont mes objets. De purs outils.
Je les voie distinctement et mon scénario est assez précis.
- Continue.
- Pendant qu’il me malaxe la vulve encore protégée par ma fine culotte de soie, un autre type a sorti sa bite de son pantalon. Il me prend par les cheveux, me fait pencher la tête vers le côté et amène sa verge qui pue le manque de savon contre ma bouche. « Vas-y, suce. » Le troisième me saisit les poignets et me maintient les bras tirés en arrière.

Bien sûr, je me laisse faire, prête à satisfaire le désir brutal de ces pauvres alcoolos. Celui qui m’a poussée sur la table fourre ses mains sous ma jupe et agrippe ma culotte qu’il retire complètement. Il m’écarte les jambes en repoussant la jupe sur mon ventre. Il pétrit avec ses gros doigts la vulve qui s’offre à lui nue et obscène. Il déboutonne son pantalon et sort son sexe tendu. Il l’enfonce sans attendre dans mon vagin pendant que le quatrième homme ouvre mon chemisier et me caresse les seins.
La bite que je suce enfle dans ma bouche. En me forçant à engloutir la verge au fond de ma gorge, l’homme éjacule un foutre abondant. Celui qui me bourre s’agite comme un malade et ne tarde pas à lâcher sa purée au fond de mon con. Je me sens tellement…complète.
Attends, je n’ai pas fini :
- A vous maintenant s’écrie l’éjaculateur vaginal en regardant ses comparses :
- Elle est drôlement bonne cette garce .

L’homme qui me tenait par les poignets s’avance entre mes jambes, baisse son pantalon et introduit sa queue dans mon sexe trempé.
Celui qui me caressait les seins me demande de le sucer.
- Quand je serai bien excité, j’irai décharger dans ton cul, je suis sur que tu aimes ça .
L’homme qui m’enfile n’en pouvant plus décharge à son tour un foutre épais et abondant au fond de mon vagin. Le ventre tiraillé par une forte envie de pisser, je jouis violemment.
L’homme que je suis entrain de sucer retire sa pine de ma bouche. Il me saisit sous les genoux et me replie les jambes sur le ventre. Tu vois comment ?
- heu.. glups, oui.

- Mon anus offert excite l’homme qui laisse couler de la salive sur le muscle serré. Sans attendre, il force mon cul. Ses couilles claquent sur mes fesses couvertes du sperme coulant depuis ma fente encore ouverte. Ni pouvant plus, le type éjacule au fond du pertuis serré.

Je me relève doucement, je remets ma culotte et j’ajuste mes vêtements et je vais enfin pisser. Je sens le sperme couler à l’intérieur de mes cuisses. Je me réajuste devant le miroir crasseux, ajuste mes cheveux collés sur mes joues. Les quatre hommes reprennent leur partie de carte.
Je quitte le bar et me dirige d’un pas assuré vers une bouche de métro.

- Viens là, tu m’excites toi.

Daniel
Par Daniel - Publié dans : Le goût des autres
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