Last days &
days last everything

adimacb@yahoo.fr

Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 00:00
Chère Ady, je te transmet un texte écrit par l'un de mes admirateurs.Je trouve sa facon d'écrire plus délicate que la plupart des hommes, et l'émoi qu'a créé cette missive, j'aimerais te le transmettre, meme si je sais que souvent tu as des gouts, disons... plus crus...
Petitange et Dragon




"J aimerais pendant que tu lis ce message, me glisser derriere toi, sans bruit, relever tes cheveux délicatement, poser mes levres sur ton cou....
Te sentir tressaillir, ma langue glissant sur ton oreille,je la mordille, et en te glissant de le creux de l'oreille "Ma cherie tu es ravissante, j'ai envie de toi"...
Je fais pivoter ta chaise, j'enjambe tes jambes, je suis face a toi. Je me penche vers toi, ma bouche vient se coller à la tienne, ma langue titille tes levres qui s ouvrent. Elle s'insinue dans ta bouche, cherche la tienne, elles s'enroulent, se cajollent, je gobe ta levre inférieur, nous gémissons tellement ce baiser est bon....

Nous n'arrivons plus a nous arreter, la fougue de nos baisers déclenche en nous une excitation terrible..... De mes mains qui parcourent ton corps, je degraffe ta chemise, je la fais tomber de tes epaules, et découvre tes seins, galbés par ton soutien gorge.....Ma bouche descend le long de ton coup, la peau est douce soyeuse, tu frissonnes....J'atteinds ton decolletté, j embrasse tes seins, écarte le soutien gorge afin de pouvoir atteindre tes tetons qui se dressent sous les caresses. Je suis tjrs a cheval sur toi, tu me repousses pour pouvoir m'enlever ma cravate, puis bouton apres bouton, tu défais ma chemise.....
Je t'embrasse à pleine bouche, tu viens coller ta bouche sur mon torse, tu joues avec ta langue, tu agaces mes tetons.....Je suis dans un etat second, mon excitation est de plus en plus forte, tu vois la bosse qui deforme mon pantalon, grossir de plus en plus......

Nous sommes torse nus tous les deux, je te sers fort contre moi, je sens tes seins contre mon torse, j'adore cette sensation, nos deux bouches se retrouvent, s'enlacent.......Je ramasse ma cravate, qui jonche le sol, j'attrape tes mains et je te les ligote dans le dos, en te glissant a l'oreille " C'est moi qui vais m'occupper de toi ma chérie"....... je fais descendre ma bouche, sur ton ventre, j'atteinds ton pantalon, mes mains effleures ton sexe atravers ce pantalon.......
Je le défais petit a petit, decouvrant ton string.....je te fais soulever les fesses afin de pouvoir te l'enlever........Ma main caresse ton string déjà moite, mes doigts accentuent la pression juste sur ton minou et ton clito..... Ma bouche vient embrasser ce fruit delicieux a travers le tissus, tu sens le souffle chaud de ma respiration......Ma langue se ballade, sur l'aine, sur le tissu, mais son toucher est delicat, juste une petite pression de temps en temps, je fais le tour de ton minou, sans toucher les endroits strategique.....j'écarte ton string, je leche juste l'exterieur de tes levres, je vois ton petit bouton grossir, tes lèvres s'humidifier.....

Combien de temps vais-je résister à l'appel de ce fruit defendu et a son nectar......Pas longtemps, ma langue s'engouffre en toi, j'ai tellement attendu, elle glisse de bas en haut, de haut en bas, je m'attarde sur ton clito, le titille, l'aspire.....Je le titille juste du bout de la langue, avant de me jeter dessus......j'entend tes gemissements, mes doigts rejoignent ma langue, ton nectar s'écoule.....Ceci n est que le debut de ma facon de te faire l'amour..."

Demonio
Par Petitange - Publié dans : Le goût des autres
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 00:00
On connaissait depuis longtemps la passion sous influence de Schiele pour Klimt et ses principes de composition de la figure humaine. On avait sous-estimé l'ampleur de cette vénération. De Klimt, nous avions retenu la tour, les enchevêtrements, les décors richements ornementés d'or, les bijoux. Chez Schiele au contraire, l'air est de famille, mais les traits des visages prennent leur autonomie. Au-delà de la pudeur, leur représentation morbide du sexe féminin transfigure leur talent.
Regardez bien ces images, elles sont aisément identifiables, malgré la nudité de leurs personnages:
 
Egon Schiele                                                                     Gustav Klimt
Là où Klimt enveloppe ses personnages dans des décors dignes de fresques murales, véritables tapisseries humaines, Egon Shiele, lui, favorise le dénuement le plus total, allant jusqu'à faire disparaître l'entourage, le support, pour ne laisser que la maîtrise du trait. Celui-ci demeure la force magique d'Egon et celui qui a vu un de ses tableaux en "vrai" aura été fasciné par ce trait indécent, moins par ce qu'il représente que par sa virtuosité.
Et nous voilà dans un paradoxe incongru: des jumeaux que tout oppose. Au contenant de Klimt, Schiele favorise le contenu. L'objet qui porte disparaît au profit de la ligne pure, tendant vers la perfection.

Maintenant, regardez mieux celles-là, saurez-vous de qui est la quelle?


Troublant?
C'est le magnifique travail de recherche du musée Maillol à Paris, qui permet la mise à jour des esquisses érotiques de Klimt, qui à l'origine n'étaient pas destinées à être montrées. Klimt, à propos d’un de ses modèles, aurait déclaré un jour: «Elle a un corps dont le derrière est plus beau et plus intelligent que les visages de beaucoup d’autres». La parenté en devient encore plus évidente. Les femmes esquissées par Klimt sont les modèles de ses Judith, Eve et autres héroïne du baiser. Dessinées dans le relâchement de l'intimité de leur relation avec le peintre, souriantes et les yeux dans le vague, leurs traits racontent la douceur d'une caresse. Souvent, le peintre dessine ensuite un vêtement transparent sur le corps tant aimé. Nul fantasme dans cette nudité: uniquement des souvenirs d'atelier.
A l'inverse, le sexe et l'érotisme dans les tableaux achevés de Schiele ne sont pas le reflet de moiteurs complices. Les corps fatigués, les regards insistants, les poses agressives, mettent en demeure le spectateur: toi qui passe, contemple ma déchéance. Le corps humain devient le réceptacle d'un mal-être plus grand encore que le spectacle de son obscénité: son dédain puis son mépris de la société Viennoise qui l'incarcère pour  "distribution de dessins immoraux", avant l'embrasement européen de la guerre de 14-18.
Egon Schiele, L'amour et la mort, musée Van Gogh d'Amsterdam du 25mars au 19 juin - www.vangoghmuseum.com

Gustav Klimt, papiers érotiques www.museemaillol.com


Par adi mac B - Publié dans : Voir Capri et jouir
Ecrire un commentaire - Voir les 10 commentaires
Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 00:00


Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux !

Ionesco
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 2 avril 6 02 /04 /Avr 00:00



Ton cul est rond comme une horloge

Et quand ma fatigue s'y loge
J'enfile le temps à rebours
Je mate l'heure sous ta jupe

Il est midi moins deux minutes
Et je suis encore à la bourre
Promis demain j'arriv'rai pile
Pour faufiler ma grande aiguille
Sous le cadran de ton bidule

On s'enverra jusqu'au clocher
Et mon coeur comme un balancier
Ondulera sous ta pendule
Dis-moi au chrono de tes reins
Quand passera le prochain train

Combien coûtera le trajet
l'ai tant couru contre ta montre
Voici qu'à l'heur' de la rencontre
Je me sens des doigts d'horloger...

Alain Leprest

Merci à chemin empruntés 
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 31 mars 4 31 /03 /Mars 00:00
En ce mois de mars, un nouveau régime amincissant que vous ne trouverez pas dans les journaux féminins!

Le Taoïste du Buffle Vert a dit :

"Si un homme change continuellement les femmes avec lesquelles il s'accouple, grand en sera le bienfait.
Si en une nuit on peut copuler avec plus de dix femmes, c'est pour le mieux.
Si un homme s'accouple toujours avec une seule et même femme, son essence vitale s'affaiblira graduellement et pour finir, elle ne sera plus dans l'état voulu pour procurer ses bienfaits a l'homme.
En outre la femme elle-même s'amaigrira."
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 00:00


Partant pour la suisse, Adelaïde a réservé une couchette.
Elle partage son compartiment avec un jeune homme de dix sept ans peut-être.

Après le repas au wagon restaurant, un homme assis en face d’elle lui offre un café. Adelaïde accepte volontiers. Pendant qu’ils discutent, Adelaïde sent le désir envahir son ventre. Quand ils ont terminé, elle propose à l’homme de l’accompagner dans son compartiment.
Dès qu’ils ont fermé la porte, ils s’embrassent et s’enlacent en tombant sur la couchette. Adelaïde défait son corsage pendant que l’homme lui retire sa jupe et sa culotte. A côté, le jeune homme est déjà couché. Il a du entendre et s’est peut-être réveillé.

L’homme enlève rapidement son pantalon et son slip.
Ils se caressent longuement. L’homme lui mordille le cou, les seins et le ventre en effleurant sa peau du bout de ses doigts.
Adelaïde caresse la pine déjà dure et grosse. L’homme glisse un doigt dans la fente humide et la branle en faisant rouler le clitoris sous son index. Sa vulve suinte lorsqu’elle jouit. Adelaïde a envie de recevoir sans attendre la queue de l’homme dans son con.
Il la saisi sous les fesses et plonge son chibre dans le con frémissant. Il la fouille dans tous les sens avant d’inonder son sexe de son foutre. Il a vu le jeune homme se retourner sur sa couchette et les regarder pendant leurs ébats.
Adelaïde se retourna et dit au garçon : « Tu nous as regardés hein, et ça t’a fait bander. Eh bien, prends moi si tu en as envie ».
Le garçon d’abord surpris, se lève, enlève son pyjama à rayures et s’approche d'elle.Il transpire à grosses gouttes. Adelaïde a replié une jambe et laisse l’autre pendre au bord de la couchette dans une position obscène.

L’homme s’est assis sur la couchette inoccupée du jeune homme. « Baise la maintenant puisqu’elle te le demande ! » Lui dit-il d’une voix sèche.
Le garçon se penche sur Adelaïde. Elle saisit sa verge et l’introduit dans sa vulve entrebâillée. Elle resserre son vagin sur la queue novice. Le gamin éjacule vite après quelques mouvements.
Le garçon va s’asseoir sur la couchette à côté de l’homme qui lui tend une cigarette. Adelaïde s’assieds sur la couchette d’en face, les jambes écartées dans un posture soumise.
Quand ils ont fini leur cigarette, ils recommencent à la baiser. Soit ensemble, soit chacun leur tour, l’un baisant, l’autre regardant. Avec le temps, le garçon prit plus d’assurance.
La nuit est presque terminée, le train arrive en gare de Lausanne. L’homme est déjà sorti du compartiment depuis un moment.

Le garçon qui n’ose pas regarder a quitté le compartiment pour rejoindre sa mère qui l’attend sur le quai.

Daniel
Par Daniel - Publié dans : Le goût des autres
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 00:00




Je viens de relire ton mail, pour compenser le manque.... relire et relire encore me laisse pantelante, chancelante... d'émotion, de desir et de plenitude, d'être desirée et de desirer...

A mon tour d'écrire ce qui me passe par la tete : un matin de semaine, vers 5h30, j'ai quitté le boulot un peu plus tot...

Je rentre en silence, je me deshabille en douceur, essaimant mes vêtements partout sur mon chemin jusqu'à notre chambre.
.


Je n allume pas la lumiere, tu as laissé une veilleuse qui delivre un halo rouge tendre dans la piece pour que je ne cherche pas mon chemin jusqu à toi... tu es couché sur le ventre, un peu de coté, le dos et une jambe hors des draps défaits, comme si tu avais lutté toute la nuit contre le desir...
Je sais deja que tu as revé de moi, transpiré sous tes propres carresses, tu degage un parfum d amour qui exite mes sens, je sais que tu as joui, déjà, cette nuit, sans moi, et ca m'échauffe encore plus... Je suis au pied du lit, nue, j'entends ta respiration douce et calme..

Du bout des doigts, je touche, j'effleure le creux de ta cheville, la où la peau est fine et douce, tu as un frisson, tu ne sais pas encore que je suis là, tu es dans un sommeil profond... toujours du bout des doigts et tout en me glissant comme une plume sur le lit, je remonte le long de ton mollet jusqu au creux de ton genou où je m attarde un peu tout doucement... puis ma paume se pose a la suite de mes doigts sur l'arrière de ta cuisse et je remonte vers le dessous de tes fesses, jusqu'au creux avant le rebondi, tu as un autre frisson, tu commence à douter entre réalité et reve, le pouce de ma main glisse un peu plus vers l'interieur à la limite de cet espace si doux entre les jambes... tu commences à sentir ma respiration contre tes fesses... tu crois etre encore en train de rever, tu n'es même pas encore reveillé... ma bouche s'approche de plus en plus et se penche, tu sens mon souffle sur le haut de tes cuisses.

Instinctivement, tu relève un peu plus ta jambe, et tes cuisses et tes fesses s'écartent par ce geste... je suis attirée comme un aimant vers cette zone douce et tendre de ta peau... tu sens le souffle chaud se rapprocher, ton excitation se décuple par anticipation. Une décharge électrique commence a te reveiller quand tu sens ma langue t'effleurer l'endroit...

Je sens que tu te reveilles, et je veux que tu sois reveillé par un trouble intense, alors pour ne pas rater cet instant ou tu sors du sommeil, je plonge ma langue jusqu'à la zone de mes desirs, tendre à croquer, ma salive se glisse et s'insinue a l'orée de tes testicules.

Je passe la tête entre tes jambes, te faisant pivoter sur le dos, tu te reveille de plus en plus sous ma fougue, je gobe tes oeufs et colle mon visage contre ton sexe en érection je le sens brulant sur ma joue, ma langue se glisse a la naissance de la verge, j'y colle mes levres et fait jouer mon percing le long des veines, tu gémis...
Je veux que tu te reveilles dans ma bouche, alors ma langue remonte le long ton sexe, je salive au point de glisser tout seul, et je gobe ton gland que je déguste comme une pêche trop mure et juteuse.
Tu as ce mouvement de contraction dans le ventre et les jambes... tu es reveillé mais tu veux rester dans cette torpeur, ca bouillonne dans ta tête, tu veux rester dans cet état à fleur de peau, de pure excitation...mais je te mène la vie dure, car j'avale ton sexe, la bouche dégoulinante la langue active, j'attrappe tes fesses a pleine main pour te maintenir contre mon visage, ma respiration est saccadée, je gémis d'excitation.
Tu en as la respiration coupée, incapable d'ouvrir les yeux le plaisir est trop fort, entre deux dimensions, tes mains saisissent ma tete, mes cheveux, tu grogne, tu gemis et ca m'excite encore plus....mes mains circulent dans ton entre jambes que j ai mouillée de ma salive, tout glisse, tout s'offre...

Mais maintenant tu es reveillé et je ne te maitrise plus, tu m attrapes par la nuque pour me forcer a remonter mon visage vers toi, je tente de resister pour continuer a te deguster mais tu me hisse vers toi pour te jeter sur ma bouche, alors je m abandonne a tes lèvres et devient douce et offerte...

Voilà ma facon a moi de te reveiller......................................"

Petit ange et Dragon
Par Petit ange et Dragon - Publié dans : Le goût des autres
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 00:00
C'est le printemps! Enfin le voilà: que fonde la neige et viennent les feuilles, racourcissent les jupes et s'allongent les verges. les mollets s'épilent et les parcs se remplissent ... et pas qu'eux d'ailleurs.


Dansmes recherches perpétuelles pour trouver le trend et l'air du temps, jene pouvais pas passer à côté de Miss Van, que les Toulousainsconnaissent bien. Depuis 1992 ou 93, cette jeune femme graphe les mursde la ville rose de ses jeunes poupées coquines. Vous aimerez ou nonleurs regards salaces et leurs rondeurs apétissantes, leur maquillagerosé et leur épilations parfaites.

 
Aguicheuses,ses chipies séduisent avec ambiguïté: lolitas ingénues? Lolitaperverses? Rouées professionnelles? La question reste suspendue à leurslèvres rondement ourlées.
 

Il y a du chemin depuis les Hanky Panky girls de Toulouse et bien sûr,la récupération de l'art de la rue est passé par là, sur différentssupports allant de la poupée de résine aux petites culottes logotypées.

Miss Van expose désormais ses petites filles sales aux 4 coins de laplanète, toujours avec le même talent.
Quand Miss Van se déplace à Rome, les journaux titrent "les mangas de France"(VF).

Ellessont peu nombreuses, les grapheuses. Encore moins à passer del'anonymat à la célébrité artistique. Miss Tik a fait son trou depuisde longues années et promène ses pochoirs aux 4 coins de Paris, j'en aivu d'autres aussi à Zürich ou Rome, toujours très impertinentes etengagées dans ce qui devient leur combat.




Dans un tout autre genre, je suis une fana des "space invaders" qui se cachent dans les endroits les plus inattendus. J'en ai trouvé plein à Lausanne et Genève, c'est dire!

Par adi mac B - Publié dans : Voir Capri et jouir
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 00:00


- Ah, tu crois ? bon, je vais faire court, m'a-t-elle défié.

Elle a ouvert ma braguette d'un geste vif et en a sorti habilement ma bite.
Elle l'a roulée entre ses paumes, puis l'a remuée et secouée avec énergie.
C'était plus efficace que si je l'avais fait moi-même.
Experte, elle s'est arrêtée juste à temps, en comprimant fortement mon tuyau pour que pas une goutte n'en sorte. Puis d'un coup, elle s'est baissée et m'a avalé tout entier en relâchant sa main.
Pris au dépourvu, j'éjaculais instantanément à grandes giclées.

Quel impeccable soulagement entre deux réunions de boulot.

- La prochaine fois, m'a-t-elle prévenu en se relevant et s'essuyant le coin de la bouche, ...me parle plus de ta femme.

Tu parles, pensais-je, la prochaine fois, je te parlerais de la stagiaire.


ess
Par ess - Publié dans : Le goût des autres
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus