Last days &
days last everything

adimacb@yahoo.fr

Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 00:00


Connais-tu Saint-Petersbourg? ses canaux, ses musées, son théâtre, ses fêtes et … ses palais. Depuis la fin des années 80, on peut enfin y retourner librement, se livrer aux froids de l’hiver et jouer les touristes en chapka de fourrure.
A l’occasion d’un week-end de découverte de l’Hermitage, j’ai longuement erré dans les rues de la ville venteuse. Le café Pouchkine, le Marinsky et le palais de la belle Kchessinskaïa.des rues, des fleuves, de l’eau… une ville irréelle. Ni Moscou ni Berlin ni Paris, St Petersbourg ne ressemble à rien. On y rêve des journées entières. Le lieu idéal pour enrichir mon imagination.

Je suis entrée un peu par effraction dans ce palais privé en rénovation. N’es-tu jamais allé dans les arrières-cours des immeubles de ville, découvrant çà et là des jardins merveilleux et cachés aux regards de la rue ? Moi si, tout le temps. Et cette curiosité m’a valu quelques aventures, dont celle de ce palais décrépit est sans nul doute la plus torride.

Ces palais construits sur le modèle Allemand s’élèvent de coursives en escaliers, d’étage en semi-étage, on finit par se perdre dans les dédales de couloirs tous ressemblants. Les courants d’air fouettent mes joues glacées et je repense à cette scène magnifique du docteur Jivago : le couple d’amants dans cette isba de glace, entièrement envahie par les froids polaires de la Sibérie. Brrr.
Encore un étage et j’atteins le sommet du palais en cours de rénovation. Je me crois seule et je regarde la ville tranquille par-dessus les toits. Dans le ciel transparent d’hiver, les fumées montent, plus droites qu’une verge de 20 ans.

« Pajalousta minia franzoustchka» me dit le jeune homme en uniforme derrière moi.  S’il vous plait ma petite française. Ouuuuups ! Surprise en flag’ je rougis. Ah non, je n’ai rien fait monsieur le cadet, rien de rien, je visitais, c’est tout et heu… je me suis un peu perdue je crois. Mon accent français le ravit et c’est avec un immense sourire qu’il me propose de guider mes pas dans le dédale. Avec un fil pareil… Ariane aurait fait des jaloux. Une Française = une aubaine. (en Russe, ça rime tu sais).
Bien, nous voilà en route, bras-dessus bras-dessous, lui loquace et moi rosissante… mon ami, tu ne sais pas ta chance.
Bien sûr, avec ses clés ce sont des chambres secrètes qu’il m’a fait visiter. Oh ! Du bruit ! Précipitons-nous vite ici ma mie, avant que ces importuns ne nous surprennent.

Les pas se rapprochent et les voix s’élèvent tandis que mon cadet prend du grade serré contre moi dans le placard, je le sens. Et cette idée folle «  j’ai envie de lui, là, dans ce placard de ce palais, là dans le froid ». Je le regarde mieux encore. Ses yeux bleu acier plongent dans mes lèvres, me percent à jour et c’est avec une voix de velours que le cadet me demande ma main… pour la mettre sur le grade caché qui prend forme au fond de son caleçon. Gasp. Comment veux-tu résister à une demande si joliment formulée ? La France est le pays de l’amour, mais les Russes sont les vrais poètes, je cède à ses talents littéraires.

A suivre… si vous le voulez bien.


Par Adi mac B - Publié dans : Ce qui me touche
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Jeudi 27 octobre 4 27 /10 /Oct 00:00


J’avais oublié cet épisode de ma vie et le voilà resurgit de mes souvenirs à la faveur d’un rêve érotique, cette nuit.

C’était mon premier défilé. Le ventre noué je suis arrivée avec mon book et les cheveux propres. Toutes les filles m’ont regardée comme si je tombais de la lune :
- Elle sort d’où celle-là ? Je l’ai pas vue aux essayages. Tu la connais ? Non et puis elle est trop… grasse, regarde ses seins, ses hanches, ses épaules, pouah, une vraie bombe sexuelle, elle sera jamais à la hauteur.
-  Ah ! Ma pulpeuse a dit le maitre en me voyant arriver. Viens, je t’ai fait uen surprise, assieds-toi là et laisse-toi faire.
Me laisser faire. Ne pas bouger, reprendre mon souffle et laisser pérorer ces filles pâles et maigres. M’en fous, de toute façon c’est pas ma vie, je rends service.

Quelques jours plus tôt en dansant un lap torride avec une amie dans une boite de Cannes, un homme avait remarqué mes hanches onduler en rythme sous les mains de cette amie peu farouche. Il nous avait payé à boire et nous avions fini la nuit chez lui, à sniffer les fond de coke que ses sbires avaient bien voulu nous laisser. Le matin en me réveillant, je démêlais les jambes en travers du lit immense et rose merdique. Mon amie était lâchée nue et le mâle avait le bas du corps recouvert d’un drap de satin vulgaire.
Pouah, un cauchemard de mauvaise série B.
La salle de bain, immense et d’aussi mauvais goût (les poignées en forme de verge en érection) me permis de me laver des souillures que mon corps avait reçu cette nuit là. Ouch… ma pauvre petite chatte… rouge et irritée elle me brûlait et je passais un grand moment à la masser doucement avec l’homéoplasmine de la pharmacie. Bien sûr, la tête complètement à l’ouest je n’avais pas remarqué l’homme dehors, très occupé à se masturber, stupéfait de me voir si tendre avec mon cher clito. Tourner et repasser. Tout ça avait fini par m’exciter et croiser son regard ne m’a pas plus génée que ça. Dans cet univers cannois, un joli mois de mai, tout est possible…
Bref.
Un orgasme plus tard, et un café chaud dans le ventre l’homme de la veille me faisait une proposition inattendue :
- Ca te dirait de défiler pour Versace après-demain ? Il me manque une fille et donatella cherche une pulpeuse. Elle m’emmerde, j’en ai pas sous la main, moi une pulpeuse. Combien tu mesures?
- 1m 77
- Pas mal. A vue de nez tu rentre dans du 38-40, et vu comment tu bouges ton corps et comment tu souris, ça va le faire. Tu prends combien?
- Heu… pour faire quoi ?
- Pour défiler tiens ! T’as jamais défilé ?

Non, j’avais jamais défilé. Enfin, jamais pour une grande marque quoi. Y a une nette différence entre lap-dancer dans des boites et défiler en talons aiguilles pour de la yaute couture.
C’est comme ça que je me suis retrouvée en string, les tétons agressés par le froid dans le backstage d’un chemin de gloire. Autant dire que je n’étais pas la bienvenue parmi les filles. De Donatella, je n’ai vu que le dos et senti que son regard dans le miens tandis qu’elle admirait la courbe de mes hanches. Une aiguille dans les côtes, un voile sur le visage pour la mise en place de la robe, nos regards ne se sont pas croisés.
- Tout le monde en place, on y va ! Lady, tu passes en N°8 STP, après Linda.
Je n’ai pas grand souvenir de cet aller-retour sous les star lights et c’est bien le seul. Je n’ai pas non plus grand souvenir des noms des unes et des autres, ni des tenues et des photographes planqués à mater les dessous des robes. Je me souviens d’une sensation ultime de sexe diffus mais omniprésent. Aucun sexe d’homme, mais tant de tension dans les airs que l’odeur rappelait plus le sperme que le parfum. Les filles, sympas pour finir, se changent à toute vitesse, voire restent nues en string chair entre 2 ajustements. Elles mangent (rien du tout) boivent (un peu) fument (pas mal) et sniffent (énormément). Tant de coke franchement c’est de l’abus. Une ou 2 lignes plus tard, les robes sublimement sexys m’allaient nettement mieux, c’est drôle non ? Le Bombay en sus, les glaçons, tout ça m’a mis d’excellente humeur. C’est alors que Linda assise à côté de moi a pris ma main pour la glisser autour de sa taille. Nous avions fait notre dernier passage, et nous pouvions nous détendre tandis que les habilleuses nous défaisaient de nos parures.Attendre notre tour en blaguant, voilà notre occupation. Dans la cohue, nous avions trop attendu sans doute. Dans la promiscuité, elle s’est assise sur ma cuisse gauche, légère et osseuse, et voilà rien de bien compliqué. Toujours en riant, elle a pris ma main droite et l’a glissée sous sa jupe :
- Tu vois, j’ai mis des bas, mais leur string m’énerve, je n’en mets pas, ça m’irrite.
- Je vois oui, tu as l’air salement irritée.
- Oui et il paraît que tu soignes ça trèèèès bien m’a t’on dit.
Glups. Ah bon. Les nouvelles vont vite… à tourner dans ce landernau sophistiqué. Puisque c’est ce que tu cherches ma grande… tu vas voir ce que toi, tu vas prendre. On ne se moque pas de moi si facilement. Cette Linda commençait à me chauffer avec ses murmures et massages, et j’ai glissé ma main dans un pot de crème à proximité. La réchauffant dans un souffle, j’ai enduit ma main entière de cette crème bienvenue. Et je lui ai fait ce si joli massage. Toujours posée en équilibre sur ma cuisse gauche, sa chatte offerte à ma main curieuse (une chatte de top, pensez donc !) j’ai fait le tour de la question sans me presser. Un homme est passé hilare et sans rien remarquer de notre petit jeu. Des dizaines de personnes allaient et venaient dans la salle tandis que j’allais et venait dans le con de cette garce cokée et jouissive. Plus épilée que moi, elle avait dû sacrément souffrir pour ôter tous ces poils : les grandes lèvres passe encore, mais l’anus et la pointe du pubis, avaient dû la roder à plus de douleur…J’ai un dû un peu insister pour forcer le passage et  lui mettre un doigt dans ses fesses offertes en rose autour de ma paume chaude. Un peu de crème fraîche cette fois l’a fait hoqueter de surprise et rire de chatouilles. Un doigt puis un autre, je doigte son anus sans faillir et m’en sers pour la déplacer, comme un crochet, je la mets directement sur moi, à califourchon, son cul offert à la vue de tous cette fois. Rien à foutre des autres, d’ailleurs eux non plus. Mise en appétit, je l’enfile au  long de ma main, fouille cette chatte trempée comme une bêche retourne la terre pour la préparer aux semailles. Je goûte un peu de son jus tandis qu’elle se tient comme elle peut, tremblante d’orgueil et de spasmes sur mes cuisses musclées. Elle se laisse faire, cette fille, Linda, est une vraie chienne, c’est dingue ce que sa passivité m’excite, me donne envie de la pincer de la soumettre à moi. J’empoigne une bombe de laque Elnett et entreprend de la fourrer avec, rien ne m’arrête, rien, elle aime ça et je me dis qu’elle a l’habitude de prendre son pied sur un coin de table, comme une serveuse de bar de nuit. Sauf que je ne paye pas. Elle prend ma main et me regarde de ses yeux ultra-maquillés :
- Qu’est-ce que tu attends pour me la mettre bordel?
Nous roulons à terre, toutes les 2 complètement hallucinées d’érotisme sauvage, de cet inconscience du désir violent, nous sommes très loin des créatures de rêves que nous étions 2 minutes plus tôt. Sous la table que nous avons rejoint pour mieux fuir les photographes,  elle me suce longuement sa main fine à l’intérieur de moi, je meurs d’envie d’être pénétrée par une bite et pourtant… c’est avec ma main que cette gourde va me finir. Putain, je n’ai jamais joui aussi fort d’une femme que j’ai aussi peu respectée. Mais sans doute est-ce là, le secret de ce souvenir : un mélange odieusement puissant de plaisir et de mépris.

J’ai pris mon fric, remercié le mec pour le fun, vomi dans les toilettes et suis partie sans une ligne dans le nez. Mais le monde m’appartenait, ce jour là.



Par adi mac B - Publié dans : Ce qui me touche
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Jeudi 6 octobre 4 06 /10 /Oct 00:00
C'est l'automne... les effeuillages devraient reprendre et ses odeurs de sous-bois aussi. Un tour dans la cave m'a permis de retrouver de vieilles bottes et un panier... eh eh eh mes gros bolets, devriez mieux vous planquer: chercher la perle rare dans les fourrés, je sais faire.

Et vous? Que faites-vous de vos promenades automnales?
Par mac B - Publié dans : L'odorat
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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 00:00


Il était passé 23 heures lorsqu'elle a frappé à ta
porte. Plongé dans un livre, tu n'avais pas entendu le vent souffler, ni la grille s'ouvrir. Fatiguée, les cheveux collés au visage par la pluie battante, l'oeil humide et le rimmel coulant, tu l'as laissée entrer dans ton antre chaud et calme.

En l'enlaçant, tu réalises combien elle t'a manqué, combien son parfum te nourrit et combien tu aimes la sentir tout contre toi. Ému, tu l'éloignes craignant qu'elle ne devine ton tourment et ne s'enfuie de nouveau. Ne pas la perdre. Pas une seconde fois. Ne pas la perdre. La laisser venir et l'apprivoiser, chatte sauvage et tumultueuse.

Un thé brûlant lui redonne des couleurs, une serviette-éponge sèche en ébouriffant ses cheveux.
Assise en tailleurs sur ton canapé, elle ne parle pas beaucoup, demande poliment de tes nouvelles, semble passionnée par tes projets de voyages lointains.
Massive attack avance lentement, note après note, détournant votre attention l'un de l'autre. Vos regards se croisent, tu restes sur tes gardes redoutant à chaque seconde que ton souffle ne te trahisse, que ton trouble ne se voit dans tes yeux si bleus. Elle semble si confuse, si déroutante.

Lorsque vos corps s'effleurent au détour du couloir, tu crois tout d'abord à une méprise. Comment pourrais-tu imaginer qu'elle cherche ta chaleur ? Pourtant, quelques minutes plus tard, sa main ne recule pas. Son souffle non plus. Il s'accélère et tu la sens se raidir imperceptiblement. Ses reins se crispent alors que tu approches ton visage. Tu oses à peine comprendre ce qui se passe : vos lèvres se touchent maintenant, interminablement et sans esquisser le plus petit mouvement. Tu la croyais perdue à jamais et la voilà tremblante et cheveux dénoués au bout de tes lèvres.

 Inutile de reprendre tes esprits, ton sexe a déjà tout compris et tu le sens se tendre au fond de ton jean noir. L'appel a retenti, il est hors de question de ne pas y répondre, elle te le montre aussi. Sans vous concerter vos corps se sont happés, irrésistiblement.

Le Nord n'existe plus.
L'apesanteur fait sienne les
corps aimants. Sous les assauts de vos baisers avides, vos dents se choquent, réveillant ce qui vous reste de conscience.

Déjà, ta main fouille ce sexe épilé qui t'affole. La vulve gonflée et inondée que tu connais si bien t'accueille enfin. Elle, pétrissant les muscles de ton dos et de ton ventre, ondule sous toi pour atteindre ta verge hurlante. Aaaooohhh. Ses lèvres l'enserrent sans ménagement, tu ne sais plus rien de jour ni de la nuit. Elle n'est que bouches trempées de part et d'autres, elle n'est qu'objet et que désir. Avide, elle gobe ton gland, glisse le long de la hampe, remonte le long de ses joues, perverse joueuse, elle souffle doucement pour rafraîchir ton sexe affolé.
Un
sein frotte sur ton nombril, un autre frappe ton flanc, sa cuisse nue appuyée le long de ton bras t'empêchent de bouger.
Ses cheveux battent le tempo
sur ton ventre et dégoulinent le long de tes hanches, tu les ramasses, prenant une contenance afin de mieux voir ses yeux sombres. Peine perdue, concentrée sur son plaisir, elle garde les paupières closes, aspirant ta bite au profond de sa gorge.
Tu fonds en elle, te
retiens de jouir déjà, pense à tout ce que tu voudrais lui faire. Subir. Donner. Recevoir.




Un instant de répit te permet de dénuder ce corps si
leste, attentif à son souffle, soucieux de lui offrir ce qu'elle aime. Tu sais déjà que vos ébats seront inoubliables, vigoureux et qu'elle est tienne encore pour cette fois. Tienne, à toi. Heureuse de posséder, elle te donne tout ce qu'elle a.

Les peaux ont effacé
les verbes et c'est silencieux que vous faites l'amour. Plus tard, vous parlerez, peut-être. Cette pensée t'effleure et assombrie ton regard. Carpe Diem, elle est là, entièrement pour toi. Ce cadeau inespéré tu comptes bien en profiter, ne pas la laisser s'échapper. Tu es son mâle et tu la couvres de baisers. Rrrraaaaahhh font tes reins en la pénétrant profondément. Depuis son dos, tu saisis ses hanches à pleines mains. Il n'est plus l'heure pour la tendresse, il n'est plus l'heure des précautions, seul compte votre appétit, seul compte la puissance de votre désir. Tu te fiches pas mal de savoir si la décence garde sa place alors que tu ahanes sur ses reins creusant son dos de tes mains, pliant sa croupe de tes coups. Elle est tienne et tu la possèdes en plein. Roulant sur elle, tu empoignes à pleines mains sa poitrine nourrissante, la malaxe et l'aspire goulûment. Ses seins infiniment doux, les manger. Croquer ses reins, bouffer son ventre, lécher sa chatte, mordiller son cul. Ogresques, vous dévorez ces peaux inespérées, mâchez ces plis et ces recoins cachés.

Tu dois l'attacher pour mieux la dompter, la coincer pour qu'elle te cède. Alors seulement tu auras accès à ses lèvres tumultueuses et glissantes. Elle accepte de rester inactive et le plaisir démesuré de recevoir ta bouche lui arrache un cri de plaisir. Ses hanches souples écartent deux cuisses rondes offrant une vue obscène sur cette vulve endiablée. Longuement tu vas mastiquer cette zone hautement privilégiée, te bâfrer de ce dont elle prend grand soin par ses jours de Belle du Seigneur, se préparant à te recevoir Ô Solal infernal.

Elle glisse sur les draps, t'échappe pour mieux revenir en toi, autour de toi, tu en sais plus qui possède qui car ses mains virevoltent autour de tes couilles, saisissent ta verge pour mieux la maintenir en elle malgré la position d'acrobate, elle ressort et se jette à genoux devant toi, suce encore et encore, avale le jus, en redonne. Femme pieuvre, les sens affûtés comme une lame d'acier, elle est partout à la fois, ne te laissant jamais sans ivresse. Ses doigts se hasardent et découvrent le secret, tandis que tu la branles à ton tour. Sentir son doigt fouiller au fond de toi anéantit les dernières limites qu'il te restait encore. Sous tes assauts, son corps délié tressaute et se donne toujours plus. Tu ne sais plus depuis longtemps qui prend qui, qui possède qui.

Les amants partagent des sensations divines et inhumaines. Associables, ils perpétuent le fantasme ultime de procréation et ne sont plus qu'un, se pénétrant l'un l'autre.

Combien de temps avez-vous roulés ainsi ? combien de temps avez-vous cuit ? Longtemps après, vos souffles se font plus longs, plus forts et enfin, enfin, enfin, tu viens en elle, tu viens sur elle, tu envahis son corps, la noie de sperme, la baptise et la consacre reine de tes plaisirs.


Je t'aime infiniment...


Merci à Gorthyn pour sa photo :-) Vous en trouverez plein d'autres magnifiques sur son blog.
Par adi mac B - Publié dans : Ce qui me touche
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Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 00:00

Il etait a a peu pres deux heures du matin, je quittais le bar après une soiree assez arrosee mais sans etre saoul, juste un peu gai.

Il me fallait, pour rentrer chez moi tranquille, passer par le canal de Rochdale. L'endroit etait repute pour etre un lieu de drague cela dit il faisait froid en ce matin de Novembre et je doutais qu il y ait quelqu un, sinon peut etre, un dealer ou des escorts a la recherche de clients.

L endroit etait assez sombre seule la lumiere de quelques reverberes et leur reflet sur le canal percait le brouillard.

C est en passant sous le premier pont que j ai apercu son ombre, j'étais un peu surpris de rencontrer une autre “ame” que moi a ce niveau puisque j avais deja passé la partie ou on draguait, dealait…

Je m allumais une cigarette, et ralenti mon pas.

Il etait appuye contre l un des muret juste avant le second pont. Entre lui et le canal il n y avait qu un petit chemin d a peu pres un metre de large. Il fallait d ailleurs penche un peu la tete une fois sous la voute du pont.

En le croissant, je n ai pu m empecher de plonger mon regard dans le sien. Ses yeux etaient sombres et brilliants. Ses sourcils etaient assez fournis mais bien dessines, sa machoire carree, mal rasee, ses levres ni fines ni epaisses. Il portrait un bonnet court de marin.

Je fis quelque pas et m arreta en faisant mine de regarder l eau du canal.

Tres vite il s approcha de moi, alluma une cigarette, s appuya sur la balustrade en tournant  le dos au canal. Je pouvais entendre ses mains caresait sa pine a travers son jean.
L excitation montait.
A mon tour je me mis dos au canal, et commencais a me caressais. Malgre le froid j avais une puissante une erection qui me faisait mal d etre contenu dans si peu d espace.
 Il tourna la tete vers moi, me regarda me caresser et sorti l objet de mon excitation de son jean.
Un longue, epaisse et noueuse queue, a peine decalotee, surmontant deux testicules de bonnes tailles et velus.
Ses mains fortes et longues la caressaient doucement, son regard etait plonge dans le mien.

Je pris sa pine dans les mains, d abord, pour la caresser, palper ses couilles et faire monter sobn excitation. Le seul fait de saisir la durete de son organe me fit lacher un leger rale de plaisir.

Je me suis tres vite retrouve a genou, ma langue caressant le bout de son gland d abord, me levres le decalotant completement .
Je savourais le gout sale de son meat, l epaisseur de son gland que je contenais difficilement dans ma bouche, l odeur chaude de ses couilles.
Je pris doucement la totalite de sa pine au fond de ma gorge, je sentais la chaleur de mon corps monter, de fines gouttelettes de sueurs couler le long de mes poils dans la raie de mes fesses.
Ma main droite le masturbait alors que ma langue et mes levres s occupaient de son gland et de ses couilles.
Je pouvais entendre son plaisir et sentir son ventre et ses jambesse contacter pour ne pas jouir trop vite.
Je lui fit comprendre de se retourner en baissant son jean .
Son cul etait muscle, rebondit comme une pomme avec des faussettes de chaques cotes, legerement velu et tres attirant.
J avaismis sa queue entre ses deux jambs afin de pouvoir le sucer tout en passant ma langue dans son anus chaud.
J avalais toutes ses essences, ma langue visitant toutes les recoins de cetet partie sombre.
Il se retourna de nouveau et me demandant dele sucer encore. Ce que je fis tout en me masturbant.
Apres quelques va et vients, je goutais a son nectar chaud et abundant.
Mon excitation etait telle que tres rapidement a mon tour, j eclatais sa bite toujours dans ma bouche couvrait a peine mes rales de plaisir.

Il m embrassa, et me serra fort, on a pase quelque dizaines de minutes comme cela sans rien dire puis nous nous sommes quittes sans rien dire.

Je ne l ai jamais revu
 
Par Jak - Publié dans : Le goût des autres
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00


Dieu seul sait comment nous nous sommes retrouvés sous cette porte
cochère. Trempés par la pluie, j'avais froid et je sentais mes tétons
poindre sous mon vêtements alors que nous attendions en riant la fin de
l'averse. Il fallait s'y attendre: avec nos conversations de bâtons de
chaises et de piliers de bar, nos confidences sur le sens de la vie,
nous sommes devenus assez complices pour que notre proximité physique
ne soit pas un problème. Même collés serrés comme nous l'étions.

C'est la surprise de "tomber" sur ta tige d'acier trempé qui m'a
chauffé la tête. Tomber dessus, ma foi, vu notre position était
inévitable. Mais qu'elle soit si dure, ça… c'était une sacrée surprise.

Toi!

Ah bah, me suis déjà grillée en t'avouant que tu n'es pas mon fantasme,
du tout du tout, je peux le répéter et cracher par terre si tu es
d'accord.

L'autre surprise a été le baiser que tu as pris, que tu t'es servi
devrais-je dire, à mes lèvres. Comme ça, sans rien demandé ni attendre
mon approbation. Et quel baiser! Du sexe en barre. Celui-là, je suis
sûre qu'il était de toi, car personne ne m'a jamais embrassée comme ça.
Faut dire à ma décharge que je plaide l'innocence: aucun homo avant toi
ni bi d'ailleurs ne m'a embrassée comme un mec embrasse un mec dont il
attend du pur sexe.

Du pur sexe donc. Instantanément, comme ça, paf. Tu as pris mes lèvres
pour les coincer entre les tiennes et me gober entière. Ma tête tenue
par une main ferme, brutale même, tu as imposé TON rythme à notre
premier baiser. Un rythme rapide, ta langue passant dans les moindres
recoins de ma bouche, suçant ma peau, mordillant mon menton, léchant
mes joues, entre rire et plaisir, nous avons joué à nous embrasser,
grognant d'excitation, affamés de ce sexe qui nous tombait dessus comme
des cataractes.

J'ai plaqué mon corps rond et doux contre le tien, sec et tendu, faire
connaissance avec toi, un peu mieux et laisser mon visage souffrir de
plaisir avec ce baiser tellement tu tenais toujours ma tête, comme ça
tu vois, la main sur la gorge, entre le pouce et l'index, en serrant tu
aurais pu m'étrangler.

Moi… ça fait longtemps que je me disais que ce moment devait arriver,
ou pas, mais que je ne reculerais pas. J'ai hésité dans mon rêve à te
suivre, j'ai hésité un moment, me demandant si le corps que tu allais
découvrir te tenterait assez pour que je puisse abuser de cette si
jolie tige. Diable!  C'est vrai, j'ai eu peur que le dégoût ne
l'emporte en toi et que tu me repousses, merci bien!

Mais bon, tu n'avais pas l'air de vouloir reculer, ni d'être effrayé ni
rien, alors allons-y franco et j'ai mis la main dans ce boxer pour y
trouver ta bite tendue à faire peur. Et là… comme à chaque fois que
j'en trouve une. Je la prends pour en prendre la mesure, la douceur, la
dureté, faire sa connaissance avant que d'en jouer. Presser, caresser,
remonter, masser, tout pour mieux la sentir, tout pour mieux la goûter
ensuite. Y goûter, j'ai à peine pu, car à peine penchée au dessus de
cet organe juteux tu m'as relevée, j'ai cru oh une demi seconde que tu
allais me retourner pour m'enfourner, mais non.

Et ton autre main me diras-tu? Ton autre main mon ami, n'a pas mis trop
longtemps avant de trouver le chemin de ma culotte, trempée elle aussi,
et y fouiller rageusement cet orgasme que je n'étais pas en mesure de
me donner. Sisisi, tu as bien lu. C'est toi qui m'as fait jouir, moi
j'étais occupée à rien, d'ailleurs je ne sais même plus ce que je
faisais, sinon que je tenais fermement ton sexe entre mes doigts, à
pleine main et que je me suis réveillée en sursaut… avec un piquet de
tente tremblant dangereusement.

But it was only a dream.
       
Par adimac B - Publié dans : Ce qui me touche
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Lundi 6 juin 1 06 /06 /Juin 00:00
Gribouille m'a recommandé cette image, spéciale filles apparemment, je l'adore .-))



Bravo, chuis fan, vous devriez aller le voir sur son site!!

Blog de Gribouille
Par mac B - Publié dans : Voir Capri et jouir
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Vendredi 3 juin 5 03 /06 /Juin 00:00


2'' qu'ils disaient sur la pub'. Sortir la tente du sac, la jeter et hop! Votre nid douillet est prêt pour la nuit. A fond la forme.
Alors ils ont pris la tente, le matelas gonflable et les duvets. Ils ont trouvé un ponton discret sur le lac de Neuchâtel, et, à la tombée de la nuit, ils ont installé leur bivouac sauvage, là, tout au bout du ponton, au-dessus de l'eau. Passer la nuit sur les flots, seuls au monde comme seuls les amoureux savent l'être, entendre les oiseaux nocturnes, les drisses des bateaux tringler, les grenouilles coasser et les poissons sauter… une nuit de bruits et de douceur. Une nuit de printemps, où tout ce qui vit la nuit n'a qu'une idée en tête: se reproduire avant que l'aube ne se lève.
Au petit matin, laisser tranquillement la brise te caresser, le soleil venir chauffer la toile de ses premiers rayons. Un vrai rêve parfait. C'est fourbus et ivres de bonheur qu'ils sont revenus à la vie mobilière.

Ce qu'ils y ont fait, ils ne me l'ont pas raconté. Mais dans leurs yeux brillaient plus d'étoiles que sous la voûte de cette nuit sans un nuage.
Par Adimac B - Publié dans : Ce qui me touche
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Jeudi 14 avril 4 14 /04 /Avr 00:00


Tu connais les magasins Body Shop?
Vas-y faire un tour demain, en même temps que les courses de la semaine.

Tu y trouveras les beurres corporels, dont le dernier sorti: parfum Fruit de la passion.(boiteronde violette). J'adore ces trucs là. J'ai eu mangue, pépins de raisins, myrtille, et maintenant, fruit de la passion.
C'est ce que j'ai trouvé de plus doux et glissant pour calmer la peau après une épilation à la cire chaude.
C'est frais, ça sent bon le bonbon, un vrai bonheur.... miam! J'ai le minou qui sent le fruit de la passion, mdr. J'aimerais pas y mettre le bout de lalangue, trop chimique, mais les doigts... mamma mia...
C'est dingue ce que ça pénètre vite ce truc. Fautvraiment en mettre souvent pour être efficace.

Et tu sais la bonne nouvelle??

Il va falloir que j'en mettre durant les 2 prochaines semaines, tous les matins, pour permettre une repousse qui soit jolie...

Enfin... je dis ça, je dis rien hein?:-)

Par adi mac B - Publié dans : L'odorat
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