Last days &
days last everything

adimacb@yahoo.fr

Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:00
Loui m'a fait un dessin, merci merci merci!! Rahh lovely, j'adore ce dessin, je vous invite très chaleureusement à découvrir son coup de patte et son humour acidulé sur son blog :




Par adi mac B - Publié dans : Voir Capri et jouir
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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:00


L'érotisme pourrait être l'art de bien cuisiner ses amours

Sony Labou Tansi
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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Dimanche 6 mars 7 06 /03 /Mars 00:00


Depuis l'invention de la photo dans les années 1820 par Niepce, l'art de la photographie de nus était un véritable péché alors que les peintres peignaient déjà une quantité incroyable de nus tirés de la Mythologie et mettant en scène des déesses dénudées sans pour autant têtre pourchassés par les autorités.
Ce qui génait la censure de l'époque, c'est que les représentations de nus du photographe révélaient une réalité plus choquante pour les bonnes moeurs que les artistes-peintres. Ainsi pendant des décennies, le nu photographié était un véritable délit et ce, jusqu'au début du XXe siècle.
Cependant, beaucoup de photographes sont devenus clandestins ainsi que leurs modèles refusant de renoncer à leur art d'autant plus qu'ils nefaisaient pas que du nu mais aussi des portraits émouvants des femmes des années 1850-1860 dans toute leur réalité.


De nombreux modèles posaient non seulement devant l'objectif mais aussi dans des ateliers de peintres, d'autres étaient probablement des femmes légères issues de bordels mais qu'importe puisque ces filles prirent part à une sorte de révolution qui devait bouleverser la société d'alors.

Aussi, beaucoup d'artistes illustres tels que Delacroix, Courbet et plus tard Rodin n'hésitèrent pas utiliser ces photos comme appui à leur propre art.






Dans les années 1850, ces photographes qui prenaient des risques ont sumontrer la femme de leur époque si réelle et si émouvante. Les bourgeois de l'époque, essentiellement composés de représentants du sexe fort ne pouvaient supporter ce type de beauté féminine puisque ces photos représentaient quelque part les prémices du pouvoir féminin!

En effet, ces photos libertines et coquines de petites dimensions pouvaient être facilement vues par des femmes de la bonne société quipouvaient alors se poser des questions embarrassantes au sujet de leur condition et de ces filles sans pudeur qui semblaient appartenir à un autre monde.


Grâce à ces preuves visuelles du passé, nous pouvons aujourd'hui apprendre beaucoup sur la femme du XIXe siècle qui finalement n'est pas si différente que celle de notre époque moderne même si au cours du temps, les femmes devinrent puis sportives et plus fines.

Malheureusement, l'invention du cinéma laissa la photographie s'enfoncer dans la banalité du moins jusqu'à l'apparition de Man Ray ou d'autres artistes de la pellicule qui font aujourd'hui de la photo un art.

Ces merveilleuses traces de notre histoire artistique des années1850 nous convient à rêver de ces femmes qui eurent le courage de semontrer nues devant l'objectif et de révéler enfin leur érotisme en pleine lumière.






Merci à la lionne du nord de m'avoir envoyé ce texte (anonyme) accompagné de ces magnifiques photos!!



Par adi mac B - Publié dans : Voir Capri et jouir
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Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 00:00


Je ne suis ni hétérosexuelle, ni homosexuelle, je suis sexuelle un point c'est tout.

Madonna
Par Adi Mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 00:00


:-) trop fort, si au moins les mômes des forums maitrisaient le SMS-language de ce niveau là... Ma foi, le code deviendrait sympa...

lsuc
léo7im6l
c.10.20 mr
Elle est sucée,
elle est au septième ciel.
C'est divin!

Et merci! Un grand bravo à ce site bdgaspar que je vous invite vivement à consulter.

Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 00:00


Le sexe fait partie de la nature, j'obéis à la nature.

Marilyn Monroe
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 00:00


Mes amants n'appartiennent pas au classes riches:

Ce sont des ouvriers faubouriens ou ruraux,
Leurs quinze et leurs vingt ans sans apprêts, sont mal chiches
De force assez brutale et de procédés gros.

Je les goûte en habits de travail, cotte et veste:
Ils ne sentent pas l'ambre et fleurent de santé
Pure et simple; leur démarche un peu lourde, va preste
Pourtant, car jeune, et grave en l'élasticité;

Leurs yeux francs et matois crépitent de malice
Cordiale et des mots naïvements rusés
Partent non sans un juron qui les épice
De leur bouche bien fraîche aux solides baisers:

Odilon un gamin mais monté comme un homme
Ses pieds aiment les miens épris de ses orteils
Mieux encore mais pas plus que de son reste en somme
Adorable drûment, mais ses pieds sans pareil!

Caresseurs, satin frais, délicates phalanges
Sous les plantes, autour des chevilles, et sur
La cambrure veineuse et ces baisers étranges
Si doux, de quatre pieds, ayant une âme, sûr!

Antoine, encor, proverbial quant à la queue,
Lui, mon roi triomphal et mon suprême Dieu,
Taraudant tout mon coeur de sa prunelle bleue
Et tout mon cul de son épouvantable épieu.

Paul, un athléte blond aux pectoraux superbes
Poitrine blanche, aux durs boutons sucés ainsi que le bon bout;
François, souple comme les gerbes
Ses jambes de danseur, et beau, son chibre aussi!

Auguste qui se fait de jour en jour plus mâle
(il était bien joli quand ça nous arriva)
Jules, un peu putain avec sa beauté pâle.
Henri, me va en leurs conscrits qui, las! s'en va;

Et vous tous à la file ou confondus en bande
Ou seuls, vision si nette des jours passés,
Passions du présent, futur qui croît et bande
Chéris sans nombre qui n'êtes jamais assez!

Paul Verlaine, 1891
Par Paul Verlaine - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 00:00


- Et toi, lui demande-t’il, quel est le plus secret et le plus hard de tes fantasmes ?
Laetitia réfléchit un instant avant de répondre
- Je refuse de te le dire
- Quelle chochotte tu fais ! Vas-y, raconte !
- Bien, tu l’auras voulu. Je fais souvent ce fantasme là, comme un rêve impossible. Je me vois déambuler tout un après midi dans les rues pentues de la croix rousse, je m’arrête dans un café aux vitres sales et à la devanture qui a dû être rouge au temps de sa splendeur. J’ai toujours aimé fréquenter ces bars un peu crasseux planqués dans les rues sombres de Lyon. Tu vois ?
A peine entrée entre dans le troquet infâme, des regards lascifs et transpiratoires se posent sur mon corps.
Au bout de quelques minutes, après avoir bu une bière mal réfrigérée, j’ai envie d’aller aux WC. Je me lève, demande au lourdaud difforme qui se trouve derrière le bar où sont les toilettes. Il me désigne le fond de la salle.
Je me dirige vers cette arrière boutique crasseuse sous le regard de quelques buveurs aux yeux cirrhosés. Et là, je me retrouve dans une salle exiguë pleine de fûts et de bouteilles vides. Dans un coin de la pièce, quatre hommes sont installés autour d’une table en train de jouer aux cartes. Je devine dans la lumière blafarde une autre porte sur laquelle est écrit WC en lettres vertes.
Lorsque je passe à côté de la table, l’un des hommes se lève brusquement et me saisit par la nuque et serrant ses doigts autour de mon cou, me force à s’approcher de la table. Tu me suis ?
- Je suis pendu à tes lèvres.
Le type me pousse vers la table.
- Reste avec nous ma chérie, on a besoin de fourrer nos grosses queues dans un petit trou bien chaud.
Je me retrouve allongée sur le dos, les jambes pendant hors de la table. Un verre de vin en se renversant a taché mon chemisier blanc. C’est comme si… en fait, ils sont mes objets. De purs outils.
Je les voie distinctement et mon scénario est assez précis.
- Continue.
- Pendant qu’il me malaxe la vulve encore protégée par ma fine culotte de soie, un autre type a sorti sa bite de son pantalon. Il me prend par les cheveux, me fait pencher la tête vers le côté et amène sa verge qui pue le manque de savon contre ma bouche. « Vas-y, suce. » Le troisième me saisit les poignets et me maintient les bras tirés en arrière.

Bien sûr, je me laisse faire, prête à satisfaire le désir brutal de ces pauvres alcoolos. Celui qui m’a poussée sur la table fourre ses mains sous ma jupe et agrippe ma culotte qu’il retire complètement. Il m’écarte les jambes en repoussant la jupe sur mon ventre. Il pétrit avec ses gros doigts la vulve qui s’offre à lui nue et obscène. Il déboutonne son pantalon et sort son sexe tendu. Il l’enfonce sans attendre dans mon vagin pendant que le quatrième homme ouvre mon chemisier et me caresse les seins.
La bite que je suce enfle dans ma bouche. En me forçant à engloutir la verge au fond de ma gorge, l’homme éjacule un foutre abondant. Celui qui me bourre s’agite comme un malade et ne tarde pas à lâcher sa purée au fond de mon con. Je me sens tellement…complète.
Attends, je n’ai pas fini :
- A vous maintenant s’écrie l’éjaculateur vaginal en regardant ses comparses :
- Elle est drôlement bonne cette garce .

L’homme qui me tenait par les poignets s’avance entre mes jambes, baisse son pantalon et introduit sa queue dans mon sexe trempé.
Celui qui me caressait les seins me demande de le sucer.
- Quand je serai bien excité, j’irai décharger dans ton cul, je suis sur que tu aimes ça .
L’homme qui m’enfile n’en pouvant plus décharge à son tour un foutre épais et abondant au fond de mon vagin. Le ventre tiraillé par une forte envie de pisser, je jouis violemment.
L’homme que je suis entrain de sucer retire sa pine de ma bouche. Il me saisit sous les genoux et me replie les jambes sur le ventre. Tu vois comment ?
- heu.. glups, oui.

- Mon anus offert excite l’homme qui laisse couler de la salive sur le muscle serré. Sans attendre, il force mon cul. Ses couilles claquent sur mes fesses couvertes du sperme coulant depuis ma fente encore ouverte. Ni pouvant plus, le type éjacule au fond du pertuis serré.

Je me relève doucement, je remets ma culotte et j’ajuste mes vêtements et je vais enfin pisser. Je sens le sperme couler à l’intérieur de mes cuisses. Je me réajuste devant le miroir crasseux, ajuste mes cheveux collés sur mes joues. Les quatre hommes reprennent leur partie de carte.
Je quitte le bar et me dirige d’un pas assuré vers une bouche de métro.

- Viens là, tu m’excites toi.

Daniel
Par Daniel - Publié dans : Le goût des autres
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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 00:00
Le clitoris

Le clitoris en fleur, que jalousent les roses,
Aspire sous la robe, à l'invincible amant ;
Silence, vent du soir ! taisez-vous, cœurs moroses !
Un souffle a palpité sous le blanc vêtement.

Béatrix, Héloïse , Eve, Clorinde , Elvire ,
Héroïnes d'amour, prêtresses de l'art pur,
Chercheuses d'infini, cachez-vous de l'azur !
D'astre en astre montez, aux accents de la lyre
Loin des soupirs humains ; plus haut, plus haut encor,
Volez, planez, rêvez parmi les sphères d'or !

Le printemps fait jaillir les effets hors des causes ;
La lune irrite, ô mer ! ton éternel tourment,
Et le désir en flamme ouvre amoureusement
Le clitoris en fleur qui jalouse les roses.

Henri Cantel-1869
Par adi mac B - Publié dans : Le facteur sonne toujours 2 fois
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